mercredi 17 février 2010

Mon histoire et mes conseils suite

Quelques poémes sur l'incestes et la maltraitances que j'ai écrit:


" LES ENFANTS ONT DROIT A L'AMOUR "


Le regard aux yeux tristes
Ces enfants sont si sinistres
Au fond de leurs coeurs
Une voix vous appelle avec ardeur
Ils souffrent du manque d'être aimé
Ils ont si mal d'être délaissés

Tous les enfants ont droit à l'amour
Tous les enfants ont besoin d'amour
Tous les enfants ont besoin de vous
Que seront-ils demain si tout le monde s'en fou?
Tous les enfants ont droit à l'amour
Tous les enfants ont besoin d'amour
Ils chantent tous un appel à l'amour
Tous les enfants vous aimerons toujours

Ils sont battus ou sont violés
Sont mal aimés ou condamnés
Vous qui les baffouez de sang froid
Vous n'avez pas le droit de tuer leurs droits
Accepté la vérité de votre horreur
Et donné leur la joie du droit au bonheur

Ecrit par Hugo Gall

" DIS-MOI L'ABSENCE ( PAPA ) "

Aujourd'hui il pleut
Dans mon coeur
Il fait plus vieux
Dans mon bonheur
J'aimerai te parler
Que tu sois là
Je veux t'aimer
Te serrer fort papa
Aujourd'hui j'ai si mal
De ne pas t'en vouloir
J'ai si mal
Je voudrais te revoir

Dis-moi l'absence
Arrive t'elle à nous faire oublier
Les longs silences
De ceux que l'on a aimé
Sans vraiment comprendre
Que l'on veux tout nous prendre
Dis-moi l'absence
A t'elle comme un goût amer
Le mal des sens
Sans quitter la terre
Sans revenir vers toi
Qui me manque papa

Aujourd'hui je suis si fatigué
D'un vide qui ne fini plus
J'aimerai te retrouver
Avoir ce que je n'ai pas eu
Me serrer fort contre toi
Un instant oublier ta mort
De t'appeller papa
Dire que je t'aime encore
Toi mon père, mon ami
A qui je ressemble
Je veux que tu m'aimes aussi
Comme si nous étions toujours ensemble

Ecrit par Hugo Gall

" PARIS EST "

J'ai laissé derrière moi
Des torrents de larmes amères
Tant de jours où il fait froid
Dans un coeur en hiver
J'ai laissé pour toujours
Mes bléssures, mes souffrances
Tout ce grand manque d'amour
Cet enfant et mon innocence

Paris est, Paris est
De mes souvenirs ce qu'il en reste
Paris est
De mon passé juste un zeste
Paris est, Paris est
Dans ma mèmoire quelques gestes
Paris est
De mes affaires rien qu'une veste
Paris est

J'ai laissé derrière moi
Les fantômes du passé
Ces mensonges qui parfois
Nous cachent la vérité
J'ai voulu oublier
Mes souvenirs d'enfance
Pour avoir le droit de trouver
Enfin une véritable chance

Ecrit par Hugo Gall


" J'AI LE COEUR QUI SAIGNE "

J'aimerai tant qu'on me respect
Qu'on voit en moi ce coeur qui bat
J'en ai assez de jouer les suspects
De toujours vivre des combats
Je voudrai être pris, pour celui que je suis
Qu'on regarde mon travail, qui sort de moi
Que l'on me laisse dire, ce que je n'ai pas dis

J'ai le coeur qui saigne
Les larmes qui coulent
La souffrance qui se baigne
Mon corps qui s'écroule
J'ai le coeur qui saigne
Sur des mots que j'entend
De mes mains qui craignent
La folie des hommes et leurs tourments

J'aimerai savoir vraiment qui je suis
Mes vérités, mon carractére, mes sentiments
Être assez fort pour affronter ma vie
Pour être libre et plus celui qui se ment
J'aimerai qu'on me considére chaque jour
Comme un être différent, avec son savoir faire
Que l'on apprécie ce que j'écris et mon amour
Et que les humains soient meilleur sur la terre

Ecrit par Hugo Gall

Mon histoire et mes conseils suite

Quelques poémes écrits sur l'inceste et les maltraitances que j'ai subit:

" LES ENFANTS ONT DROIT A L'AMOUR "

Le regard aux yeux tristes
Ces enfants sont si sinistres
Au fond de leurs coeurs
Une voix vous appel avec ardeur
Ils souffrent du mal d'être aimés
Ils ont si mal d'être délaissés

Tous les enfants ont droit à l'amour
Tous les enfants ont besoin d'amour
Tous les enfants ont besoin de vous
Que seront-ils demain si tout le monde s'en fou
Tous les enfants ont droit à l'amour
Tous les enfants ont besoin d'amour
Ils chantent tous un appel à l'amour
Tous les enfants vous aimeront toujours

Ils sont battus ou sont violés
Sont mal aimés ou condamnés
Vous qui les bafouez de sang froid
Vous n'avez pas le droit de tuer leurs droits
Accepter la vérité de votre horreur
Et donné leur la joie du droit au bonheur

Ecrit par Hugo Gall


" DIS-MOI L'ABSENCE ( PAPA )

Aujourd'hui il pleut
Dans mon coeur
Il fait plus vieux
Dans mon bonheur
J'aimerai te parler
Que tu sois là
Je veux t'aimer
Te serrer fort papa
Aujourd'hui j'ai si mal
De ne pas t'en vouloir
J'ai si mal
Je vooudrai te revoir

Dis-moi l'absence
Arrive t'elle à faire oublier
Les longs silences
De ceux que l'on a aimé
Sans vraiment comprendre
Que l'on veux tout nous prendre
Dis-moi l'absence
A t'elle comme un goût amer
Le mal des sens
Sans quitter la terre
Sans revenir vers toi
Qui me manque papa

Aujourd'hui, je suis si fatigué
D'un vide qui ne fini plus
J'aimerai te retrouver
Avoir se que je n'ai pas eu
Me serrer contre toi
Un instant oublier ta mort
T'appeller enfin papa
Dire que je t'aime encore
Toi mon père, mon ami
A qui je ressemble
Je veux que tu m'aimes aussi
Comme si nous étions ensemble

Ecrit par Hugo Gall


mercredi 10 février 2010

Mon histoire et mes conseils suite

Les débuts de la descente aux enfers et de la fin de l'innocence:

mon pére étant décédé la veille de mes deux ans, cela a été un grand choc, une grande perte, qui n'a jamais été comblée, encore aujourd'hui à 46 ans, je n'ai pas fait un vrai deuil, il me manque comme si je l'avais connu pendant des années, mais je sais et mon corps et mon âme se souviens des moments que nous avons passé ensemble, de ma naissance à ce jour dramatique ou il m'a été enlevé, ce qui reste de ces jours et de tout ce qu'il a fait avec moi et pour moi, c'est tout l'amour sincére et fort qu'il m'a donné, qui c'est installé en moi et qui m'a donné la force de supporter tout ce qui allait m'arriver pendant toutes ces années qui allaient suivres, un amour de père, un amour sans intéret et pur.

Dés le décés de mon père, les épreuves se succédérent à une vitesse et à une dose infernale, comme si les choses étaient inscrites et que le poing de rupture pour moi était la mort de mon père.

Ma mère traversant ses propres démons, étant sombrée dans une grande dépréssion, je me retrouvai projetté dans le monde des grands, avec tout ce que cela implique, leurs travers, leurs hypochrysies, mensonges,méchanchetées, etc..., avec mes oreilles et mes yeux d'enfant meurtris qui ne comprennait pas cet univers si impitoyable, ce n'était pas dallas, mais toutes similitudes, n'étaient pas si fortuites...

De l'amour des uns et des autres au temps des beaux jours, les insatisfactions, les coléres enfouient, les haines, les jalousies, prirent la tête et la place, dans les mauvais jours.

Je devenais soudain un otage, une monnaie d'échange pour tout ce petit monde, cette famille d'un côté ou d'un autre, mais la famille de mon père étaient championne en ce genre nouveau, surtout ma grand-mère, qui semblait tout à son aise de pouvoir régler ses comptes avec sa bru à qui elle n'avait nullement envie de faire des cadeaux et surtout pas de la sympathie.

Tout ces événements, ces conflits, ont eu sur moi un incroyable impact de destabillisation, de sentiment de désoriatation, d'instabillité, d'insécurité, qui m'a poursuit toute ma vie, encore maintenant je suis une personne trés fragile face à toutes ces sentiments.

Conseils:

J'alerte les parents et familles qui se trouvent face à de telle situation dramatique, quand un père ou une mère disparait et laisse un ou des enfants en bas âge, l'important et de ne pas minimaliser le chagrin et les souffrances des enfants, face a ses propres peines et souffrances, car l'enfant à besoin de continuité, de sentir qu'il n'ait pas seul, qu'il est entouré, aimé encore et surtout il n'a pas besoin de se sentir rejeté, sentir l'agréssivité, les ressentiments de l'entourage, dans ces instants et les jours qui suivront vous devrez être une forteresse, une barrière inffranchissable pour vos enfants, pour les protéger du dehors et de les laisser sereinement vivre et faire leurs deuils en toute sérénité, pour qu'ils puissent grandir en toute quiétude.


" en chacuns de nous il y a un enfant qui a souffert et qui a mal " Hugo Gall

mercredi 3 février 2010

UN PEU DE MON HISTOIRE ET DE MES PROJETS

Pour pousuivre, j'aimerai vous raconter un peu de mon histoire, pour que vous puissiez mieux me connaître et surtout qu'elle puisse aussi peut-être aider certain d'entre vous à faire plus attention avec leurs enfants et leurs entourages.

J'avais 2 ans quand mon père est décédé dans des conditions tragiques, il a été victime d'une balle qui ne lui était pas destinée et qui a malencontreusement ricochée, l'atteignant à la tête, il est mort dans l'ambulance, il avait 27 ans, m'a vie d'enfant aimé, désiré, à dès cet instant bousculée dans l'incertain, le desespoir, la souffrance et m'a surtout mit en danger, une proie facile pour tout ceux qui voudraient me faire du mal et m'atteindre, j'étais soudain livré à moi même et en pature à ce monde loin d'être tendre avec les enfants, les faibles, il m'a alors fallut faire mes prémières armes de la vie, entre une mère absente, malade, une famille qui se déchirait sur les cendres encore brulante du corps de mon père et un entourage plus qu'intérréssé que navré pour l'événement dramatique qui m'avait atteint en plein coeur ...

Je crois et je le sais surtout au fond de moi, que j'ai du me battre pour survivre, pour exister, ne pas sombrer, dans ce monde qui ne semblait pas vouloir de moi, je n'avais que 2 ans et déjà je devais me battre pour survivre dans cette jungle qui était si dangereuse et inamicale.

Ma mère a été dès ce drame de tentatives de suicides en dépréssions, qu'elle était déjà sujette à faire, ayant une santé fragile, se qui fait que j'étais souvent placé tantôt chez les uns et chez les autres et pas toujours chez des personnes qui me voulait du bien, malheureusement, pour ne citer une nourrice à la ténardier que j'ai eut durant cette période et qui lorsqu'elle partait en course, m'attâchait sur un lit dans le noir, jusqu'a ce qu'elle revienne, je suis sur d'autres sévices, mais ma mémoire à oublié jusqu'a l'existence de cette femme, la seule chose éffrayante qui m'a était réléguée par feue ma grand-mère maternelle, c'est une chose qui c'était passée alors que l'on rentrait avec ma grand-mère chez elle, un jour de pluie et où devant notre porte on a rencontré cette charmante personne, ma grand-mère ma vue fuir, courir jusqu'a l'appartement, de plonger tout habillé, avec mes bottes de pluie, mon ciré, dans un grand lit tout propre et fait, pour ne pas être vue, avec une grande peur...

Aujourd'hui encore je me demande qu'elle chose une grande personne a t'elle bien pu faire à l'enfant que j'étais pour engendrer autant de peur, la seule chose que je sais de ma mère, c'est qu'elle l'avait trouvée par son frère ainé et qu'elle lui avait demandée beaucoup d'argent d'avance pour pourvoir me prendre, à cette époque nous étions dans les années 1966-1967, mon père étant décédé en 1965 ( 30 JUIN 1965 et moi étant né le 1 er juillet 1963 ), ma mère m'a aussi précisée qu'elle n'avait pas eut confiance en cette femme, et qu'elle avait tout fait pour m'en retirer le plus vite possible, qu'elle vitésse dirai-je ironiquement, car elle a eut largement le temps de faire des dégats sur moi, l'enfant que j'étais et qui éssayais de se construir dans cette société incivilisée...

Ce qu'il faut en retenir et que je vous demanderai de garder en vous en tête, c'est qu'a ce moment là, un enfant en pleine construction, se trouve par des traitements différents de ce qu'il aurrait du vivre, confronté à des choses qu'il ne comprend pas, face à une violence qu'il ne connait pas,à cet instant il va être une proie toute trouvée pour tout prédateur en manque de perversité et de machiavelisme.

Parenthése:

Je tiens à prévenir, alerter, avertir, tout parent qui voudraient avoir un enfant, ou vont en avoir.

On ne fait pas un enfant comme ça, en se disant on vérra, il faut savoir que pour l'enfant il faudra être protecteur, aimant, présent, confiant, juste, le plus équilibré possible, et surtout à l'écoute et observé.

Un enfant est fragile, naïf, confiant, innocent, c'est la société, les personnes qui l'entoure et l'éléve qui le font devenir se qu'il deviendra et cela il faut le rater le moins possible, en d'autre terme: un enfant doit avoir le maximum d'attention de ses parents, sans en faire un enfant capricieux et roi, mais cette attention est l'observation, l'écoute, la présence, la confiance, l'amour; car vous devez connaître votre enfant, savoir ce qu'il aime, n'aime pas, est-il joueur, gai, introverti, etc...Dite à votre enfant que vous l'aimez, ça parrait bête, simpliste,dépassé, mais combien esce important, un enfant qui sait qu'il ait aimé, aurra beaucoup plus confiance en lui, sera beaucoup plus épanoui, apprenait lui aussi à avoir confiance en vous, dite lui, montrait lui, car si un jour il se passe quelque chose de grave, qu'une personne lui fait du mal, etc, sa confiance en vous le fera venir vers vous et votre observasion, vous fera voir et sentir que votre enfant n'ai pas comme d'habitude et qu'il se passe des choses anormales,
alors vous serez prêt à l'enttendre, l'écouter, l'aider, le croire, car quoique l'on dise, un enfant ou un adulte qui s'ouvre enfin pour dire de tels actes, ne mens pas, ou alors il y a une raison incroyable à ça, mais en recevant le témoignage brut de votre enfant en tant que parent vous devez le recevoir dans vos bras, lui prodiguer tout cet amour, cette confiance, à laquelle vous l'avez habitué et fait croire, si par malheur vous louper se rdv, votre enfant aura perdu toute confiance en lui et aura une approche désastreuse avec les autres, qui le vérrons trop différent pour être " des leurs ".

Les premières années d'un enfant sont les plus importantes pour son équilibre, épanouisement,et son le refflet de se qu'il sera plus tard, c'est dans ces prémières années qui faut à tout prix lui faire prendre une certaine assurance face à des choses que certain pourrait qualififier de " impure " , de " sale ", " d'adulte ", moi je dis non, quand un enfant c'est fait abusé par qui que se soit, il est trop tard et il est entré dans le monde des " adultes " brutalement, sans comprendre, savoir, été prévenue, qu'il devait dire non, qu'il pouvait crier, hurler, courrir, si on ne lui dit rien, lui ne saura jamais que ces choses là, sont interdite aux enfants, qu'on ne leurs fait pas, que leurs corps c'est leurs corps et qu'il leurs appartient et que personnes n'a le droit de leurs faire ce que l'on fait qu'entre adultes consentant, il faut que pour lui se soit clair, aucun adulte mon enfant n'a le droit de ta toucher, ton sexe, ton zizi, tes fésses, de te désabiller, etc...

Vous êtes ses parents et c'est votre devoir d'éduquer votre enfant pour que quoiqu'il se passe votre enfant ait des armes pour combattre un prédateur tapi dans l'ombre, lorsque vous êtes loins de lui, ou proche, mais que vous êtes occuper à autre chose, aujourd'hui dans cette jungle qui est notre société, dite civilisé, vous ne pouvez pas vous perméttre de " lâcher vos enfants dans la nature, sans leurs donner un minimum d'armes pour se battre et se déffendre ", c'est le devoir de tout parents digne de ce nom, qui aime leurs enfants.

Si ma mère m'avais bien mit en garde, répété et répété ces choses, alors j'aurai peut-être su dire non, ne pas accepté, quand mon beau-père à violé l'enfant que j'étais en tuant à jamais l'innocence qui était en moi, alors je vous en pris pour vos enfants, faites le...

Vous pouvez me poser vos questions, vos doutes, vos histoires, au: georgelucienthierry@hotmail.fr

Ps: Se blog spécialement dédié à l'inceste et maltraitance faite aux enfants et je l'espére un préambule à la naissance d'une associassion que j'ai à coeur de créer avec des personnes concernées, de confiances, bénévoles,soignants, médecins, psychologues, etc, qui portera le nom fondation André Albert Gallois, car mon père n'aurai jamais accepté le mal qu'on a fait à son fils, comme moi je n'accepterai jamais celui que l'on fait à tout enfant, merci

mardi 2 février 2010

Tous les conseils et mises en gardes aux parents, adultes, en rapport direct avec les enfants

Tout d'abord, bonjour et bienvenue, sur inceste et maltraitance plus jamais.

J'ai enfin décidé d'ouvrir ce blog aprés des années à me demander que pouvais-je faire pour aider les enfants qui avaient subit tout ces actes odieux, de violence physique, verbale, sexuelle, que surtout moi même j'ai subit et qui m'a anéanti.

J'ai aussi écouté, enttendu, essayer de comprendre a travers le temps, les émissions, les débats, les accueils, pshychothérapie, psychiatrie, etc, avant de me rendre compte que finallement rien de concret n'était fait pour arrêter, minimiser, sauver, aider, soutenir, guérrir, toutes les victimes de ce fléau immense, qui a encore du mal à dire son nom et que beaucoup de personne encore aujourd'hui on peur d'affronter, nommer, citer, jugeant que c'est " sale ", " impropre ", " pervers ", mais je dois dire aujourd'hui que ces gens se trompent, car le taire et le cacher, c'est le permettre encore plus, le laisser libre de se faire et de se propager encore d'avantage.

Aujourd'hui encore j'étais dans un cabinet de soin et je regardai les affiches sur les murs, j'ai lu les associations, les infos sur certaines maladies, mais a ma grande désolation, rien nétait sur les murs en ce qui concernait la maltraitance et l'inceste, j'ai alors pris la décision qu'il était temps de faire quelque chose, au moins quelque chose de positif, car des années aprés que ce fléau à était mit en lumiére, que l'on a avisé l'opignon public de ces maux, il est impenssable et surtout pour moi inconcevable, qu'il se passe toujour autant d'actes immondes, pervers, dans des familles, des collectivités, tout cela est inadmissible d'accepter ça en cette époque dite '' moderne " et de ce contenter de remuer de temps en temps les feuilles d'un arbre télévisuel, pour en faire une audience, si bien soit-elle, non je vous le dis à vous tous, tant que l'on prendra pas le propléme à bras le corps et que l'on ne formera pas les parents, les adultes qui se trouvent en rapport direct avec les enfants, alors ces choses innomables continuerons d'être faite à de pauvres innocents et qui du même coup vérrons leurs avenirs et leurs vies détruites, anéanties, avant même d'avoir prit son éssort ...

Je viens de là, je suis passé par là, j'ai baigné là-dedans et croyez-moi, j'ai de quoi vous en dire, vous conseiller, vous avertir, pour que le plus grand nombre de personne sache ce qu'il faut faire et ne pas faire et prévenir à leurs tour autant de personnes qu'ils pourrons, le jour ou je serai arrivé à cela, j'aurai enfin réussi une partie de ma vie.

Je souhaite aussi proposer un grand projet de " loi " en le faisant appliquer à travers de deux chartres : 1/ chartre des droits de respect des enfants
: 2/ chartre des devoirs de respect des parents et tout autres adultes envers les enfants

Ainsi chaque famille, adulte, saura à n'en plus être ignorant ce qu'on ne fait pas à un enfant et les risques qu'il encoure, comme les enfants serons obligatoirement informer très jeunes par leurs parents, docteurs, etc, de ce qu'ils ne doivent jamais accepter d'un adulte quelqu'il soit et des choses qu'ils doivent faire, quand ces choses sont entrain d'être commises, ou que des barriéres sont aux limites d'être franchies.

Il n'ait plus possible aujourd'hui d'accepter et de tolérer les moindres dérogations de ces limites, car ce n'ai pas le coupable, ni les familles, entourages, collectivités, qui vérront leurs vies finies, qui serons continuellement montré du doigt, car on les considérera différent des autres, dans leurs mondes, etc, j'en passe, car cet acte améne un enchainement de désorientation, de changement, recul, etc, chez l'enfant, la victime de cet acte et à ce jour notre société, les gouvernements succésifs, les structures sensées aider et secourir les victimes, sont loin de faire l'affaire et de savoir de quoi ils parlent, j'en ai fait la grave expérience et enferme en moi toutes les souffrances qu'ils m'ont tous inffligés les uns derriéres les autres...

Je vais alors m'éforcer de vous aider à mieux prévenir, avertir, vos enfants, vos intuitions, pour devenir à l'avenir de meilleurs parents encore, adultes ...

" Un enfant aimé, chéri, écouté, instruit, protégé, deviendra plus tard un adulte équilibré et épanoui "... Hugo Gall