samedi 6 juillet 2019

Une maison de larmes

            "   8, rue des mésange   "

C'était une maison d'un lotissement
Ma mére l'avait voulu ainsi
Elle y avait mis son argent
Cet argent de veuve pour la vie

C'était une maison à l'entrée orange
Je m'en souviens telle qu'elle était
Comme son fonctionnement étrange
Ma mére et mon beau-pére s'y battait

C'était une maison avec un sous-sol
Que l'on avait bétonné pour être pratique
J'étais un jeune garçon loin de son envol
Quand mon beau-pére me colla tel un moustique

C'était une maison ou l'enfance n'avait pas de droit
Oû de ma mére à mon beau-pére les verrous tombaient
Sautaient les uns après les autres sans loi ni foi
Malgré les maladies de ma mére et ce qui en découlaient

C'était une maison qui était ouverte aux autres
Mais que voyaient-ils de l'enfance bafouée, violée
Je ne pouvais qu'espérer qu'un jour, ils seraient nôtres
Un bon voeu pieux à jamais réalisé

C'était une maison à la maison DIEU
Mais dans ce lieu le diable y régnait en Maître
Ma mére n'a jamais pensée à ce qui était le mieux
Le mieux pour moi son enfant qu'elle avait fait naître

C'était une maison dans ces Vosges, oú il y a neuf château
Qu'elle importance aujourd'hui tout est prescrit
On a débarrassé tout ce qui n'était pas beaux
Ma mére s'en est allée, mais il reste le proscrit

Comment imaginer que celui qui fait le mal reste
Pourquoi toujours se sentir sale, éclaboussé, accusé
Sans avoir reçu de l'amour, affection, des gestes
Battus, humilié, inceste, rien ne m'a été épargné

C'était une maison avec un grand jardin
Ma mére y éttendait son linge blanc et couleur
L'autre son mari à changé le cour de mon destin
Faisant de moi un autre être, loin du bonheur

C'était une maison aux allures de petit château
Tel que ma mére l'avait voulu et l'a eu
Seulement elle ne voulait pas voir derniére les rideaux
Elle a refusée de dire et voir les vérités qu'elle a vu

C'était une maison et moi l'enfant
Une maison acheté avec l'argent d'un mort
Ils ont osés faire le mal et le payeront eternellement
S'éssuyer dessus comme un paillasson dehors

C'était une maison, j'étais cet enfant
Elle a été rachetée, remodelé, pour faire mieux
Mais j'aurais voulu qu'elle soit rasée en grand
Rien ne devait subsister de ce qui était vieux

Elle était une maison, elle portait le malheur
J'étais un enfant, je suis devenu grand et suis parti ailleurs...

Écrit le samedi 6 juillet 2019 entre 16h30 et 20h18, à Chamigny, La-Ferté-Sous-Jouarre, clinique post cure repos de l'Ange-Gardien, par Hugo Gall pseudo de T-G.

Pour tous mes fréres et soeurs de souffrances, et pour ceux qui les défendent et comprennent. Courage je me bas pour vous, nous, ensemble...




mercredi 27 mars 2019

la ruée vers l'ovule



'' Courses pour la vie ''


On était des millier voir des millions
Se bousculant pour arriver le premier
Passant les uns devant les autres trublions
C’était la cavalcade, la montée sans escaliers
On était tous un peu étourdis par notre éjection
Si forte, intense, soudaine, remplie de désir
Aucun de nous ne pensait que c'était une éjaculation
Que de nous un seul survivrait pour apporter le joie et le plaisir

Quand je pense à cette course folle comme une ruée
Une flèche partie pour remporter le Graal
Celui de déclencher une possible maternité
Je me demande pourquoi moi, qui cours si mal
Je pense de plus en plus à cette course de la vie
Comment j'ai pu finir par être le premier ce jour là
Sortant du sexe de mon père qui avait très envie
Que ma mère porte l'enfant, qu'elle ne voulait pas
C'est à rire et pleurer que d'y penser ainsi
Gagner dans ces moments si intenses et forts à la fois
Pour finir par avoir un avenir déchiré à l'infini
Avec toujours ces mêmes question qui reviennent : pourquoi ?
En tous les cas ce jour là je m'accrochais déterminé
Dans les jours et les mois qui suivirent je tenais ferme
Malgré toutes les ruses que ma mère inventait pour m'évacué
De chutes d'escaliers, de ports de charges, etc, je suis arrivé à terme

J'ai tenu jusqu'à ce premier juillet de l'année mille neuf cent soixante trois
Ma mère n'était déjà pas trop bien, la chimie en elle faisait les siennes
C'est pourquoi depuis leur rencontre il prenait soin d'elle et ainsi de moi
Jusqu’à ce jour veille de mes deux ans où une balle traversa son oreille de la persienne
Cette balle qui a tué mon père raisonne encore
Elle c'est répercutée dans la vie de ma mère et moi
Cet événement tragique a dévasté chacune de mes aurores
Je n'ai jamais pu me trouver et avoir un vrai chez moi

Ma mère m'a entraîné dans ses erreurs et instabilités
Se remariant avec une bête qui ne devint jamais un prince
Mais le bourreau de ma vie, enfance, adolescence, vie abusée
A détruire tout mon corps, tant de possibilités, tel un vieux volet qui grince
J'ai connu mille et une épreuves où j'ai pensé ne pas tenir
Seul face à ce monde et entourage réduit à néant
Traversant tant de trahisons de mon sang, que j'ai voulu en mourir
Même si à ce jour je suis presque rien, grâce à Dieu je suis vivant

Ma mère s'en est allée sans rien me dire, sans un pardon
Elle a rejoint celui qui a fait que je suis arrivé un jour premier
Mais cette course pour vivre tous cela n'était pas un don
Ma vie désormais est pour la défense de tous ceux qui ont étaient abusés
Ce que je suis aujourd'hui c'est le bon De-La-Fontaine
'' rien ne sert de courir, je rajoute ni d'arriver à point ''
Car si notre vie est écrite bien ou mal, elle ne doit pas être vaine
La mienne m'a conduite à vivre le pire, pour que des autres je prenne soin.


Écrit et commencé le mercredi 27 mars 2019 à 16h40, bibliothèque de Lagny-sur-Marne, terminé ce même jour à 17h20, bibliothèque, par Hugo Gall, pseudo de T.G

Au nom de tous mes frères et sœurs de ces mêmes abus, et de ce qui en découle, ainsi que de tous les survivants.


mercredi 13 mars 2019

les destructions de l'inceste


'' J'aurai dû être ''


( Commencé le mercredi 13 mars à 11h45 bibliothèque de Lagny )


Quand j'étais enfant j'avais des rêves
Des rêves qui étaient profonds et au fond du cœur
C'était des vrais envies qui se poursuivaient sans trêve
Cela me donnait une impression que je vivrai le bonheur

Mais une fée maléfique à tout contrariée
De sa baguette remplie d'épreuves et de souffrances
Elle a tout fait pour détruire mes voies tracées
Mettant des adultes à mes côtés pour briser l'enfance

Moi qui pendant des années rêvait d'être architecte
Qui dessinait des maisons, des plans avec toujours le même plaisir
Dés que j'avais un crayon et du papier, il fallait que je me connecte
On aurait dit que mes mains étaient programmées pour ce désir

J'étais très attaché à ce rêve qui a duré des années
Seulement la vie que je subissais ne me conduisait pas en ce sens
Ce qui était sensé être chez moi, était un enfer de damnés
Un beau-père maltraitant devenant vite incestueux et moi sans défense

J'avais le manque terrible de ce père partis trop tôt à mes deux ans
Dans des circonstances dramatiques qui ont vu mes familles se disloquer
Sa mort si brutale injuste et imprévisible, tandis qu'il n'avait que vingt sept ans
Un avenir professionnel assuré pour des années, une famille à aimer

Ma mère n'a plus été ma mère dés ce jour et le sera plus jamais
Elle avait perdu sa raison de vivre, celui qui l'a faisait tenir debout
Déjà malade à leur rencontre, il avait pris soin d'elle et donné la paix
Infirmier en Algérie il savait comment faire, puis il devint son époux

J'ai connu ma mère malade à ce moment là et elle l'est resté toujours
De dépressions sévères, en suicides, crises bipolaires non décelées, puis cancers
En plus d'une adolescence difficile, elle m'a contre sa volonté mis au jour
Personne n'avait compris que la maternité bouleversait d'avantage son corps et univers

Voilà comment à la mort de mon père, elle épousa à mes cinq ans
Celui qui allait devenir mon bourreau, détruisant enfance, adolescence, adulte
Entre lui et ma mère qui était absente, inapte à prendre soin de son enfant
A la naissance de ma sœur qui l'a fait être encore plus malade, tout devint tumulte

Évidement cela dura tant d'années qui furent autant d'épreuves violentes
Tant de souffrances, de blessures, des suites de tout ce que j'ai dû subir
Que tous mes rêves et désirs s’envolèrent en fumée me menant vers l’errance
Je n'étais plus rien, néant, vide, déstructuré, jamais devenu ce que '' j'aurai dû être ''.

Terminé à 12h45 à la bibliothèque de Lagny, mercredi 13 mars 2019

Écrit par Hugo Gall ( pseudo de T.G )

Dédicaces spéciales à toutes les victimes d'incestes, pédophilies, maltraitances.

mardi 5 février 2019

Tous ce que nous sommes devenus sommes, manquons aprés l'inceste...

Mardi 5  février 2019 Lagny-Sur-Marne. 


Je voulais partager ce texte du jour dans " sa parole pour aujourd'hui ", elle m'a profondément touché le cœur et ému, en tant que ex victimes de maltraitances et d'inceste, et aujourd'hui survivant, je vous le transmet, en oubliant pas de rajouter alors imaginez ce qu'on vécu et vivent les victimes ou comme moi les anciennes victimes de ces fléaux, monstruosité, mais il est bon de savoir que les choses semblent bougé enfin même s'il ne faut pas baisser les bras...
vendredi 1 février, pour les parents.
( laissez venir à moi les petits enfants ), évangile de Marc:10. 14.
Imaginez ce que ces enfants ont dû ressentir quand ils ont entendu Jésus s'indigner contre ceux qui voulaient les empêcher de s'approcher de lui, avant de l'entendre les inviter directement: " venez à moi "!
Combien de destinées furent-elles changées à jamais simplement parce qu'il les aimait et voulait les écouter?
Il leur offrit ce jour-là ce que tout enfant recherche inconsciemment: la dignité d'avoir ses propres pensées et opinions et la confiance en soi.
Ecouter un enfant c'est lui accorder une certaine importance.
Si vous dites à un enfant 365 jours de l'année et ce pendant 10 ans qu'il n'est bon à rien, ou que vous n'avez pas de temps à lui consacrer, quelque chose meurt en lui, il risque de perdre tout sens de créativité et de confiance en ses talents.
Imaginez vous embarquer dans la vie avec un tel bagage de critiques et de rejets!
Personne n'était plus occupé que Jésus à cette époque de sa vie, pourtant il prit le temps de les écouter et de leur parler.
Qu'importe ce qu'il leur dit ou ce qu'ils lui dirent.
L'important pour eux était de partager un peu de son intimité.
Le faites-vous avec vos enfants?
Parents, vous le savez, les tensions de la vie ne cessent d'augmenter.
Nos prisons sont pleines de jeunes délinquants qui ont commis des crimes d'adultes.
Souvent nous découvrons qu'ils n'ont jamais appris à exprimer leurs émotions autrement que par des actes de violence.
Enfant, il avait pris un marteau pour casser son jouet.
Adulte, il bat sa femme ou casse tout dans le cuisine parce qu'il n'a jamais été encouragé à se contrôler.
Ses vêtements ne sont plus de la même taille et il a bien grandi, mais le message que véhicule son esprit est pratiquement le même: personne ne le comprend, personne ne l'écoute...
Parents, peut-être devez-vous réfléchir à ce que sont vos priorités dans la vie?
Certaines décisions que vous rendrez à leur égard auront des conséquences jusque dans l'éternité.
( tiré de " sa parole pour aujourd'hui )
J'invite chaque parent à bien lire et réfléchir, analyser, tous ces mots, paroles, en n'oubliant pas que nous devons à nos enfants, sécurité, nourritures, amour, et de les conduire jours après jours sur le chemin de leurs vies qui va être le leurs, puissiez faire d'eux des être équilibrés, épanouis, heureux, parce que vous les avez aimés et élevés dans l'amour et votre présence le plus possible, l'argent est nécessaire, soit, mais la vie de votre enfants, son bien être psychique, fonctionnel, etc, ne l'ait t-il pas d'avantage?
Aujourd'hui, il faut courir être meilleur que les autres, avoir la plus belles voiture, maison, etc, etc, mais tout cela est bien éphémère non? Car demain nous serons peut-être plus là, et nos enfants resteront seuls sans vous, et avec tous ces regrets de ne pas avoir passé plus de temps avec vous, tous ensembles, car il fallait que vous couriez, pour subvenir à toutes ces choses que vous vouliez pour être mieux que les autres, et donner plus et selon vous le meilleur à vos enfants, mais le meilleur et le mieux pour eux, n'était-ce pas vous?Aujourd'hui dite le vous, le meilleur pour eux c'est vous, d'être ensemble et de profiter de chaque instant de cette vie qui vous ai donné avec eux, alors protégez les, aimez les et n'allez pas au devant de leurs faux besoins, seul l'amour compte, le votre.
Merci pour eux, ainsi que pour tous ces enfants, qui souffrent d'être seuls désormais ou qui ont subit les pires choses....

Hugo Gall ( pseudo de T.G ) 

Que les choses, mentalités politiques changent, enfin reconnaissent tous nos destructions, difficultés à vivre normalement, s'insérer dans une société, un monde pro, qui nous est étranger, austère, dur, et dont ils nous comprennent pas et nous juges pour ce que nus sommes pas, car ce que nous avons vécu, lorsque cela n'a pas été soigné en temps et en heure, écouté, fait de nous des êtres totalement différents et avec une certaine onde qui rejaillis sur les autres plus sensibles à ces changements de caractères tempéraments et cela est destructeur pour nous en entreprises, etc...Que nous politiques concernés et investis vraiment par ces traumatismes, etc, se l’imprègnent et en tiennent vraiment compte et facilite les reconnaissances mpdh pour cela, car ces parcours sont longs difficiles et pas vraiment accepté et compréhensibles, je souhaite aux nouveau venu du gouvernement dans ce combat toute la force, la détermination pour réussir à changer toutes ces choses et cette causes, je suis à sa disposition s'il le souhaite, faite passer si vous le voulez bien...Merci

mardi 12 juin 2018

Itinéraire et genèse d'un survivant de maltraitances et d'inceste ( suite 8 )

Mardi 12 juin 218, Lagny-Sur-Marne, chez moi.



REMERCIEMENTS ET SALUTATIONS :


Je tiens ici à dire tout l'amour que j'ai pour mes enfants, quelque soit ce qu'il

pense de moi, ce que je sais c'est que je les ai toujours aimé et aimerais toujours, je regrette que

mon vécu, ce que je suis les a éloignés de moi, nous a séparés, mais ma porte est toujours ouverte

pour eux et mon cœur restera grand ouvert, je leur souhaite sincèrement les plus grands bonheurs et

belles vies, je complète avec mes beaux enfants que j'ai aussi élevé d'une certaine manière pendant

une grande période, que j'ai aimé comme mes propres enfants et leur souhaite également les mêmes

choses.

Je remercie aussi mon ex femme, qui quoiqu'elle pense, se soit passé entre

nous, m'a permis à un certain moment de couper avec mon beau-père, ma mère, faisant que je

puisse me reconstruire d’une certaine manière, car malgré tout le mal qui était déjà fait et les dégâts

déjà bien installés, mais je n'avais plus à supporter et avoir peur de mon bourreau.

Je remercie ceux qui m'ont aimés d'un cœur sincère, soutenus, aidés, ceux

qui sont partis trop tôt, ceux qui sont toujours à mes côtés, je remercie mon psychothérapeute qui

m'a beaucoup soutenu et poussé dans mes écritures dont à écrire et terminer ce livre, tout ce qui m'a

permis d'avancer, de continuer, de survivre bon grès malgré.

Je remercie aussi tous ceux comme Flavie Flament qui ont le courage de

dénoncer ce qu'ils, qu'elles, ont subit et dire aussi que les femmes qui sont leurs mères ont étés

complices dans ce qu'elles, ils, ont subit, tout cela est vraiment important et je le répéterais jamais

assez.

Je vous remercie vous aussi mes lecteurs et vous demande de partager tout

cela, d'en parler, de faire que ça devienne dés débats, des conversations dans les familles et plus des

tabous, pour qu'enfin tout change, que plus rien ne soit comme avant et que les enfants soient

vraiment protégés par leurs familles, le parent non abuseur et maltraitant, car c'est là où ils ont ce

droit inaliénable et obligatoire d'être protégé, ne l'oubliez jamais, c'est votre droit et obligation en

tant que parent de les rendre heureux, évidement pas de faire des enfants rois, sans limites, tout est

une question d'équilibre.

Avec mes meilleures pensées à vous tous et mes remerciement infinis.


MOI AUJOURD'HUI :


J'ai 54 ans en cette fin d'écriture, je suis au RSA, heureusement sinon je serai

dans la rue, physiquement je suis fatigué, voir épuisé à des moments, j'ai des écarts de moral dans

mes journées, des instants où je suis gaie, d'autres où je suis déprimés, tristes, j'ai des jours où je

veux rester seul, enfermé chez moi, j'ai toujours à me concentrer et c'est de plus en plus difficile, j'ai

aussi les mêmes problèmes à retenir les choses que j’entends, voient et que je voudrais garder en

mémoire, j'ai toujours besoin de retrouver mon chez moi même si c'est pas le lieu de vie qui me

plais le plus, mais mon appartement par lui même me plais, je l'ai aménagé avec l'idée qu'il soit

chaleureux pour moi mais aussi pour ceux qui y vienne et c'est là que je suis le mieux, dés que je

vais ici ou là, j'ai besoin d'y revenir pour me sentir bien, mieux, c'est un f2 dans une cité avec tous

les problèmes qu'il peut y avoir aujourd'hui dans ce genre d'endroit et c'est vraiment pas facile, n'en

déplaise à tous ces politique qui veulent nier tout cela, nous faire taire, voir nous traiter de raciste ou

faire passer pour des fachos pour mettre les problèmes réels sous le tapis et les laisser s’accroître et

ne pas les résoudre, mais moi je n'ai pas le choix, ce qui est souvent le cas quand on arrive dans ces

cités, je suis déjà heureux et reconnaissant d'avoir le RSA et cet appartement et de pouvoir vivre,

survivre, sans fioritures, je précise que je ne vais pas au restos du cœur, ni au secours Catholique et

que je me débrouille seul avec ce que j'ai, que je paye ma taxe télévision et que j'y tiens c'est ma

participation à tout ce qu'on me donne, mon pays me donne et à cette société, qui malgré tout à

laissé faire tout le mal que l'on m'a fait.

Je ne suis pas un être comme les autres et mon adaptation à la vie, la société

actuelle, le monde professionnel, etc, et des plus difficile pour moi, je me sens mal, toujours à

l'écoute des injustices, des choses qui vont pas, je suis pas facile à des moments, même si je fais

mon maximum pour être le mieux possible, j'ai essayé et j’essaye encore de trouver une formation,

un travail comme animateur pour personnes âgées, mais je ni arrive pas, malgré mes démarches et

envies d'y arriver, j'avoue que ça me déçois beaucoup, fait du mal et me déprime, je suis aussi en

colère après ces organismes de formations, etc, qui ne font pas leurs boulots réelles, comme

favoriser en premier les personnes sans emplois, et pas prendre des personnes qui ont déjà un

travail, etc...

J'ai personne dans ma vie actuellement et j'ai mis fin à celle qui me tenais

tant à cœur, car elle me faisait plus de mal que de bien et des années après elle ne me menait à rien,

plus de souffrances et d'incompréhensions, que de réel partage et d'amour ; pourtant j'ai aimé très

fort, je n'ai pas non plus de proche autour de moi, mais le peu d'amis que j'ai sont sincères, sérieux,

là pour moi, j'ai la foi en Dieu, Christ, à ma manière, avec mon vécu et mes idées de la vie bien

arrêté, que les autres n'ont pas, car j'ai un lourd vécu de cette vie où j'ai beaucoup appris, vu,

entendu et j'ai compris beaucoup de choses et comment les voir, adapter, etc, ce qui ne correspond

pas à ce que beaucoup de gens croient ou pas, pensent et veulent, alors souvent cela me met en

marge et me met en colère, déçoit, me met en retrait avec plus aucune envie de participer à quoique

se soit, mais tout ça c'est ma vie depuis toutes ces années temps où j'ai subit toutes ces souffrances

et vie difficiles.

Ma plus grande souffrance c'est de ne plus voir, avoir de relation suivie et

forte avec mes enfants, avoir une vraie famille, ainsi qu'une personne qui m'aime et que j'aime à

mes côtés le plus souvent et réciproquement, sans pour cela forcement vivre ensemble tous les

jours, car cela je ne le peux et pourrais certainement pas, c'est trop lourd pour moi de vivre avec

quelqu'un tous les jours, j'ai besoin d'avoir mes silences, calmes, espaces libres à beaucoup de

moment, c'est sûrement aussi pour cela que j'ai eu ces échecs dans le mariage...

j'ai aussi besoin d'être enfin reconnu pour mon combat, mes écris, ce que je

suis, c'est très important pour moi, me reconnaissant enfin à ce que j'ai vécu, subit et mes forces à

me battre et survivre.

Pour finir fin mai et début juin de cette année 2017, j'ai fait une dépression

suite à une grande et longue insomnie qui à fini par me donner des tendances suicidaire, en plus de

tout le mal, les souffrances qui me rongent, je ne pouvais plus entendre, supporter le bruit de mes

voisins dans cette cité, je ne supportais et ne supporte vraiment plus leurs irrespects, faire des

travaux quand bon leur semblait et semble, sans même demander l'autorisation, pas coucher des

enfant de 16 mois à presque 3 ans aujourd'hui avant 1h voir 2 heures du matin, sans compter que

mes voisins du haut bougeaient et continu de bouger leurs meubles toutes les fois qu'ils leurs

prenaient et prennent l'envie en plus de leurs travaux, sans aucun respect, à 4 heure du matin,

minuit, la journée, enfin allant jusqu'à me mentir droit dans les yeux pour me dire, non ce n'est pas

moi, sans compter les gens et famille qui viennent souvent dormir et passer plusieurs jours, et qu'elle

me dit chez nous il ni a jamais personne, tiens mon œil, elle m'a prit pour un imbécile pendant des

années, mais maintenant je ne la croit plus, en plus j'ai vu tous ces gravats, personnes partir de chez

elle, ses enfants au petit matin, elle même balançait par sa fenêtre des gravas et essayer discrètement

de les retirer en bas, j'ai bien compris aussi que l'on ne vivait pas du tout les mêmes choses, les

mêmes valeurs de la France, à force de vivre en plus dans cet endroit qui ne ressemble en rien à ce

que j'ai appris de mon pays, j'avais et j'ai toujours l'impression d'avoir perdu mon identité en tant que

personne et citoyen Français comme je l'avais appris à l'école, dans ma vie, alors en plus de ma

propre identité avec toutes ces cassures, blessures, je ne me sentais et ne me sens pas bien du tout,

j'étais et suis arrivé à vouloir ne plus rien entendre, voir, etc, je ne voulais plus vivre, et suite au

traitement que mon docteur m'avais déjà donné, je ne pensais plus qu'a une chose, partir, en finir, je

ne voulais plus vivre, plus de cette vie qui ne ressemblait plus en rien à ce que j'avais connu, mes

souffrances étaient devenues trop grandes, insupportables, et j'avais un grand besoin de dormir, de ne

plus penser à rien, alors après avoir bien réfléchi, parlé avec mon pasteur, avoir prier, une seule

chose s'offrait à moi, les urgences de l'hôpital, c'est ce que je fit et qui finalement était le plus sage,

j'ai été reçu au bout d'un long moment qui m'a semblait interminable par un psychiatre des urgences,

qui compris mon mal et souffrances et me fit aussitôt hospitalisé.



Un petit aparté:
                                                                (        Je tiens à préciser ce mardi 12 juin 2018, pendant que je

fini de retranscrire mon manuscrit, que je ne suis pas raciste, extrémistes, gaucho ou de droite, que je 

n'est rien contre tous ces gens, mais qu'a un certain moment nos politiques depuis tant d'années 

aveugles par ces problème de plus en plus voyant, existant, ne font et n'ont rien fait pour changer ces 

choses, ce '' vivre ensemble '' qu'ils aimes tant nous rabâcher, ou encore ces mots que je ne supporte 

plus, par de stigmatisation, etc, tout cela et bien trop facile, car ils parquent tous les étrangers surtout 

venant du moyen orient, ou Maghreb, dans nos cités, en plus de cela ils les mettent en grand nombre 

voir en majorité, sans leurs rappeler leurs obligations de respect des lois, des règlements intérieur et 

extérieur des logeurs, propriétaires de leurs logements, comme respecter les voisins, le bruits 

nocturnes ou diurnes, enfin déjà s'ils commençaient par faire des petits ensembles, plutôt que des 

grands, gros immeubles, avec plusieurs les uns à  côtés des autres, qu'ils les dispatchent un peu 

partout au lieu de les concentrer sur un territoire, ensuite qu'ils mettent pas une majorité de même 

gens dans les mêmes immeubles, on est avant tout en France et la majorité est quand même de

culture française, racines, qu'ils soient d'ici ou d'ailleurs, alors qu'ils face le pourcentage des gens 

dans un immeuble par apport aux pays de provenance, culture, religions, etc, car à un certain 

moment c'est plus possible de vivre l'esprit tranquille, en sécurité, se sentir bien quand on se retrouve 

pratiquement le seul Français sur sa cage d'escalier, voir immeuble, ce n'est pas normal, acceptable, 

ce n'est pas ça l'intégration, ni vivre à la Française, que l'on mette 50 à 60%  de Français et culture 

Française et ensuite 10% de ce pays là, puis 10% d'autres, etc, là les gens seront obligé d'une manière 

ou d'une autre de s'intégrer et surtout d'apprendre les lois, du pays et intérieurs aux règlements des 

sociétés de logements, et surtout comment vivent les Français, la France, les heures de la nuit, du 

jour, qu'on ne fait pas les travaux comme on veut, qu'on ne laisse pas ses enfants courir, crier à 

n'importe quelle heure de la nuit, du jour quand on vit en communauté, ils semblent qu'on a laissé 

faire beaucoup trop de choses, sans dire de l'autre côté touts les devoirs, lois, gens, à respecter et que 

c'est comme ça qu'en France on vit point, et puis moi je ne suis pour aucun extrémistes, de politique 

et de religions, j'ai été éduqué comme cela par l'école Française, l'armée, alors qu'on me dise pas que 

j'ai tort, en France même la vraie laïcité à été trafiqué pour amener les électeurs à des partis, moi je 

n'accepte que les Musulmans modérés mais vraiment modérés, car là aussi ont fait un peu comme on 

veux en politique quand on dit ces mots, et bien quand on voile des petite filles en France c'est pas 

modéré et c'est surtout pas la France, désolé, car ici les petits garçons et petites filles, sont égaux, et 

ils doivent vivres leurs enfances, avec leurs autres copains, sans voile, ni autre chose, mais libre 

comme les autres pour vire et profiter de leurs enfances et garder le plus longtemps tout cela, avec 

leurs innocences, il y a bien d'autres dérives, que justement les vraies modérés, et aussi les 

très modérés comme nous les autres croyants Français Chrétiens protestants ou Catholiques, vivent 

discrètement sans que l'on voit sur eux de qu'elle religions ils sont, c'est sa la vraie laïcité que moi j'ai 

appris et défend et veux, sans compter les laïc du Maghreb, ici, qui comme les autres cité, n'ont pas 

arrêtés et n'arrêtent pas de dénoncer les dérivent des dernières années et ces derniers temps, en ce 

moment, etc, avec touts ces atrocités inacceptables qu'on a connus, ici nous sommes en France et la 

France c'est comme ça, dans d'autre pays c'est autres choses, moi personnellement je n'irai pas dans 

des pays où on ne respect pas la femme, les enfants, ces pays sous dictatures, etc, ou l'on ait pas

libre, alors ceux qui n'acceptent pas la France et son histoire, racine Judéo-Chrétienne, et laïc, et bien 

il y a d'autres pays ou ils pourrons trouver ce qu'ils aiment vivre, au lieu de vouloir faire de la 

France ce qu'elle n'a pas le sens de devenir et être et il faut arrêter de voir du racisme partout, aux 

moindres mots, de faire de l'obstruction politiques déviantes en mettant le racisme à toutes les

sauces, pour pouvoir se ramener les électeurs à soi, dans ce que je dis il ni a pas de racisme, juste du 

bon sens et vérité, que je suis loin d'être le seul à penser et dire.


                                                                        Maintenant je vais encore partir en clinique maison de 

repos, pour essayer de me retrouver, aider, tout le temps qu'il faudra, car j'ai passé encore une année 

infernal ici, dans cette cité, en plus de tout mon être intérieur et ses failles, blessures, etc que je dois 

soigner et n'arrive pas en vivant dans cet environnement, ou même les motos qui vont et viennent ne 

sont jamais poursuivies par la polices et qu'on laisse faire, avec des bruits assourdissant de jour 

comme de nuit, dite moi si j'ai tort, comment peut-on vivre ainsi, et parce que l'on a de 

problème sociale, santé, etc, et que l'on ne veux pas changer les politiques de logements et 

d'attributions, et bien on vous met dans ces lieux alors que vous êtes déjà pas bien, et bien sûr à la 

longue, vous vous perdez en plus dans votre identité et avec tout ce qui c'est passé et passe, vous 

n'êtes plus tranquille, en confiance, mais qui est assez intelligent en politique pour comprendre et 

changer tout cela, sans faire de l'extrême gauche et droite, et autre gauche bobos, droite idem?Moi 

personnellement avec les causes que je défends, je me demande si je vais encore voter pour 

quelqu'un, je pense que se sera blanc désormais, car au final on perd toujours...)



Au final j'y suis resté deux semaines et demi, mais je n'avais pas envie de

sortir, je me sentais si bien là, si protégé, le personnel soignant était si dévoué, à l'écoute, si bien

avec moi, j'ai si bien était traité, en plus j'ai pu enfin dormir, avec un autre traitement bien sur, mais

j'ai dormi enfin, alors que depuis le 14 juillet 2016, arrivée de mes nouveaux voisins et de leur

jumeaux, je ne pouvais plus dormir correctement, avant de finalement plus pouvoir dormir, cela m'a

fait beaucoup de bien, le personnel agent de service ont étaient aussi très gentil, ainsi que le

infirmières, infirmiers du soir, de la nuit, que de compassions, joies, je ne remercierais jamais assez

tous ce personnel dévoué, à l'écoute, etc, qui fait de son mieux avec les peu de moyen que l'on

accorde aux services psychiatrique, sans compter que l'on continue à mélanger les simple dépressifs,

comme moi, et autre maladie dépressives, avec des personnes ,cas beaucoup plus grave et

dangereux, pourtant une loi avait été voté dans ce sens, mais rien a était fait encore et le pauvre

personnel déjà bien occupé se trouve parfois être obligé de se mettre à 6 voir 8 personnes pour

s'occuper d'un cas grave dangereux, c'est inadmissible et je leur tire mon chapeau.

Je n'ai pas eu beaucoup de visite c’était aussi bien car je dormais beaucoup au

début, puis la deuxième semaine, je dormais moins mais j'avais encore besoin de dormir de temps à

autre, puis j'ai reçu la visite de mes amis Kitty et Jojo, qui m'ont tellement fait de bien, avec leurs

amour que Dieu leur a donné pour les autres, ils ont étaient là pour moi alors que m'a propre

famille, mes propres enfants n'ont pas montré l'ombre de leurs pas, et puis mon meilleur ami, frère,

J-P K, qui comme toujours était là, il a était cherché les affaires que j'avais besoin comment ne pas

le remercier lui aussi infiniment, bien sur il me manquait mon Luby, mais était ce vraiment le lieu

de nos retrouvailles, même s'il m'a envoyé des mots gentils avant de finir par des mots méchants

c'est tout lui, il était là d'une certaine manière, en tout cas il habite dans la même ville que l'hôpital,

mais nous deux et ce qui va avec c'est une autre histoire, et je sais dans mon cœur et au fond de moi,

mon esprit qu'il souffre à sa manière et ne vis pas une vie heureuse, alors ma seule manière de

l'aider, de le comprendre j'ai compris c'est d'être là quand il a envie de me voir, envoyer un sms, en

priant et espérant, qu'un jour il comprenne qu'en moi il avait un vrai ami, un frère, et bien plus et

que je pouvais lui apporter et donner toute l'affection et tendresse qu'il avait besoin, mais sûrement

es-ce un vœu trop pieu comme on dit, mais moi je lui souhaite tout l'amour du monde...

Quand le temps fut venu de me dire que j'allais bientôt sortir et retourner chez

moi, je fut soudain prit de panique, de peur, mal, je n'avais pas envie, je ne me sentais pas du tout

prêt, puis mes médecins ont appelés mon psychiatre que je voyais fréquemment, un peu moins ces

derniers temps et ils m'ont mieux compris après avoir parlé avec lui, et ils m'ont parlés en me

rassurant, me proposant divers possibilités si ça n'allait pas, ce qui a fini par me laisser convaincre,

et je les en remercies, c'est comme ça que mes chers amis Kitty et Jojo sont venue me chercher à ma

sortie, encore eux, mais j'étais en bonne main, et dans ma vie, quoiqu'il m'a arrivé il y a toujours eut

un moment ou Dieu semble avoir mit sur mon passage un ou des anges pour me garder, protéger,

s'occuper de moi, et j'en suis infiniment reconnaissant.

Je dois préciser aussi que pendant mon séjour dans le service, j'ai pu côtoyer,

parler, discuter, échanger et lier des sympathie avec certains patients, avec qui j'ai essayé de les

rassurer, les soutenir de toute mon affection, et je les embrasse très fort et leur souhaite le meilleurs

et que Dieu vous garde avec tout son amour, et le Christ vous porte jusqu'à ce que vous soyez prêt à

marcher seuls, Claudia, Valentin, Aude, Pierre-A, Mickaël, Margaret, je vous embrasse de tout mon

cœur, là aussi j'ai encore appris et vu et entendu des souffrances, des blessures, tant de choses qui

ont remué mon cœur et mon âme, il serait tant que ces servies soient vraiment reconnus, aidés et

disposent de moyens réel et satisfaisant pour mieux fonctionner et que l'on s'occupent encore mieux

de toutes ces souffrances, etc....

Voilà aujourd'hui j'ai repris ma vie d'avant l'hôpital, je vais mieux certes

même si au début c'était loin d'être le cas, mais maintenant j'ai pris un peu de distance et puis avec

l’assistante social de l'hôpital qui s'occupe de moi et de me trouver un logement mieux pour moi, en

tout cas mieux situé et bien entouré, comme mon bon docteur, et tous les papiers comme preuve, je

me dis que ça va bientôt changer pour moi, avec aussi la grâce de Dieu, mais malheureusement à ce

jour tout n'a pas l'air de s'affoler, malgré toutes les bonnes volontés de mon assistante sociale.

C'est vrai que j'ai encore beaucoup de travail dans ma tête à faire, faire

vraiment le deuil de ma mère et de ce qu'elle n'a pas été, etc, mais j'ai confiance en ma foi, en Christ

et ceux que Dieu à mit et met auprès de moi pour qu'un jour je me réjouisse avec joie et que je

puisse aider tout ceux qui ont traversés cette grande souffrances et actes monstrueux et leurs dire,

ayez confiance, on peux s'en sortir, et être enfin heureux, oui je le crois, grâce à Dieu....Merci et

toute ma reconnaissance.


Remerciements spéciaux : mon père, mon grand-père Lucien, ma grand-mère Marie, Émile F,

Nicole S, Robert D ( pasteur ), J-P K, Val P, Martine, Kity et Jojo, Catherine et Jean-Louis, Anne-

Marie et Francis, Ruben ( pasteur et ami ) , Monsieur Prosper ( mon doc psy, qui m'a toujours

poussé à continuer d'écrire mon histoire et plus ) et un merci à tous ceux qui sont cités dans ce livre

en tant que personnes ayant été là dans ma vie à des moments précis. Ils se reconnaîtrons....

Je soutien l’association AÏVI qui combat l'inceste d'une manière bien à eux. ( ps : je ne suis pas

abonné )

Dédicaces spéciales à mes enfants, ces enfants adoptif que Dieu m'a donné comme mes enfants.


Je rajouterai une grande pensée pour Ludovic Chancel, fils de Sheila et Ringo, Annie Chancel et Guy

Baye dans le civil, j'ai été et suis un grand fan de la chanteuse Sheila, mais là c'est à la mère que je

pense, car rien n'est plus dure que perdre son enfant, même à plus de 40 ans, j'ai eu la chance de

pouvoir le voir et discuter un peu avec lui, et d’échanger sur facebook, la seule chose que je dirais et

pense, au vu de mon livre, mon vécu, c'est que ce garçon était mal dans sa peau, peut-être avait il

subit des choses plus jeune qu'il n'a jamais dite, souffert de blessures qu'ils l'ont détruites, mais il en

reste ce qu'il en est , aujourd'hui il est décédé, dans des circonstances que je ne connais pas, pas

encore, mais ce que je veux dire c'est toute ma compassion, réconfort à Annie Chancel que Dieu

vous porte et soulage votre peine et repose en paix Ludovic.


En ce jour ou je termine mes dernière corrections, j’apprends la mort dans la nuit de Johnny

Hallyday, sûrement l'un des grand pan de notre histoire et de la chanson, un grand show-man, d'un

immense talent, pour moi c'est toute une époque qui s'en va, c'est les année 60, avec Sylvie Vartan,

Sheila, Françoise Hardy, Eddy Mitchell, Claude François, etc, une génération s'en va, tous mes

sincères condoléances à la familles femme, enfants, petits enfants, proches, fans...Mais je suis obligé 

de dire malgré tout, que l'on ne déshérite pas ses propres enfants, de sang comme cela, et dans mon 

vécus, je sais oh combien un beau-père, une belle mère et importante dans ce genre de décisions, en 

tout cas comme moi même je l'ai vécus, ma mère m'a déshérité, mais en précisant qu'elle donnait tout 

à sa fille, ma demi sœur, et que selon la loi ( Française ) Le solde restant obligatoire par la loi,  pour 

moi son fils.Inutile de dire que ces mots font mal, pas pour l'argent non, mais pour tout ce que cela 

veut dire, tout ce qu'il y a derrière. C’est pourquoi je soutien la peine et la souffrance que peuvent 

ressentir par apport à cela David et Laura, on ne doit pas rejeter ses enfants comme ça et en France, 

la loi l'interdit....

Mes autres pensées sincères au fils de France Gall, Raphaël, famille et proche de Rose Laurens, 

Enfants, familles, proches de Mauranne, enfants et famille, proches de Jeanne Moreau, des étoiles 

qui m'ont ravis plus d'une fois, par leurs talents, en chansons, rôle, etc.Qu'ils reposent tous en paix.


FIN LE DIMANCHE 17 FEVRIER 2017 ET MERCREDI 06 DECEMBRE 2017




Retranscrit de mon manuscrit: mère et fils: inceste monde d'emploi, ou beaux doigts le petit rouquin.


Lagny-Sur-Marne mardi 12 juin 2018 par Hugo Gall ( pseudo de T.G ) Merci de votre soutien, lecture, compréhension et aide, aux enfants, adolescents, jeunes adultes, adultes, qui ont vécus ces choses et qui vous parleront de ces choses, se confieront à vous pour la première fois, ne les repoussez pas, écoutez les, aidez les, vous savez maintenant se qu'il faut faire, pensez à vos familles, proches, voisins, etc, merci du fond de mon cœur pour eux.