mercredi 4 mars 2015

enfin vers une reconnaissance des séquelles des violences sexuelles...?

Bonjour à tous, cette semaine, oh surprise, les médias, radio ( rtl ) et journaux ( espress ), ont révéles que des sérieuses etudes ont mises en avant que les victimes de violence sexuelles souffraient toutes leurs vies de séquelles liées clairements à ce qu'elles ont subit, chapeau, après tant d'années ou je me bas, cris, hurle, ai ouvers ce blog, démarché tout ce que je pouvai, jusqu'à l'état, enfin on va être écouté? Je l'espére en toys les cas, mais j'attend de voir, d'être sur, car comme moi vous savez bien que la politique etc, c'est des mots, des on vous a compris et puis plus rien, alors nous allons être vigilant et bien à l'écoute dans les jours, mois à venir, et puis si ils veulent savoir qu'ils viennent me voir je me ferai un plaisir de les renseigner, n'ai je pas déjà écrit aux autres ministres de la santé, justice, etc, les preuves sont sur mon blog...

Ci dessous les extrais de journal l'express:

En France, 81% des victimes d'abus sexuels sont mineures

Par LEXPRESS.fr avec AFP, publié le

Une étude réalisée dans le cadre de la campagne "Stop le déni" montre que les enfants et adolescents sont les principales victimes de violences sexuelles, et courent de nombreux risques faute de prise en charge adaptée. 

 
C'est une enquête aux résultats alarmants. Réalisée grâce aux réponses de plus de 1210 victimes, âgées aujourd'hui de 15 à 72 ans, dont 95% de femmes, elle montre qu'une femme sur cinq et un homme sur quatorze déclarent avoir subi des violences sexuelles en France. Des agressions commises à 94% par des proches. 
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Parmi ces victimes, 81% ont subi ces violences avant l'âge de 18 ans, dont 51% avant 11 ans et 21% avant 6 ans. L'enquête a été conduite de mars à septembre par l'association Mémoire traumatique et victimologie, avec le soutien de l'Unicef. Et pointe les risques encourus par des victimes trop peu soutenues. 

Risque accru de suicide lors d'abus dans l'enfance

Dans plus de la moitié des cas survenus dans l'enfance, l'agresseur était un membre de la famille. "Mon père m'a violée en moyenne 3 à 4 fois par semaine pendant dix ans", témoigne ainsi une victime. Aussi, plus la victime est jeune au moment des faits, plus les conséquences sont lourdes. 42% des personnes interrogées ont déjà tenté de se suicider, parfois plus de dix fois, et 95% reconnaissent un impact des violences sur leur santé mentale et physique. 

Le "scandale" du manque de prise en charge

Face à ces résultats, le Dr Muriel Salmona, présidente de l'association Mémoire traumatique et victimologie, déplore le manque de soutien proposé aux victimes. Elle dénonce "un véritable scandale de santé publique", représenté par "l'absence de prise en charge adaptée, de protection et de reconnaissance des victimes, surtout les plus vulnérables, alors même que les conséquences sur la santé et la vie affective, familiale et professionnelle apparaissent extrêmement importantes". 
 

Les victimes d'abus dans l'enfance ne s'estiment pas protégées

L'étude pointe une responsabilité générale des structures de prise en charge des victimes, qu'elles soient policières ou pénales. Plus les violences sont assorties de circonstances aggravantes (viol, inceste), moins les victimes ont été protégées par la police, la justice ou leurs proches. 
Seules 4% des victimes agressées dans l'enfance indiquent avoir été prises en charge par l'Aide sociale. Parmi celles qui ont porté plainte, 66% de celles qui avaient moins de 6 ans au moment des faits déclarent "n'avoir jamais été protégées", tout comme 70% de celles entre 6 et 10 ans et 71% de celles entre 11 et 14 ans. 
"Il est urgent que les pouvoirs publics mettent en oeuvre les moyens nécessaires pour protéger, accompagner et soigner efficacement les victimes afin d'enrayer le cycle infernal des violences", plaide le Dr Muriel Salmona. "Il faut briser la loi du silence" ajoute-t-elle. Avec cette étude comme premier pas. 
Avec
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le mercredi 4 mars 2015 à Lagny-Sur-Marne Hugo Gall pour T.G