jeudi 25 novembre 2010

La violence faite aux enfants des femmes violentées 2

Journée de la violence faites aux femmes:

Je me suis réveillé aujourd'hui en apprenant par la radio que cette journée de jeudi 24 novembre était celle des violences faites aux femmes, je me suis dit bien, mais en écoutant les radios, j'ai eu comme un sentiments amer, comme si il manquait quelque chose, quelque chose d'essentiel, puis en réfléchissant soudain,bingo; bien sur, il manquait les victimes innocentes qui sont en plein champs de bataille, otage de la folie démentielle et meurtrière d'un mari,d'un père, d'un concubin, beau-père, d'un côté et de l'autre côté la femme,la mère,qui prend les coups,les insultes,les pressions psychologiques,mais qui n'as pas su prendre la décision quand il fallait de quitter cet être abject et menaçant, pour elle soit, mais aussi pour et surtout pour la sécurité physique et mentale de ses propres enfants,je ne juge pas et ne veux pas juger,mais par expérience je dois dire que si ces femmes à un moment donnés prenaient toutes l'ampleur de leurs décisions de partir ou rester,se séparer ou accepter que la chair de sa chair soit les témoins jour après jour de toutes les scènes qui aviliront leurs mères,la verront prendre des coups,même tomber sous ces coups et que plus tard ces mêmes enfants, seront anéantit, incapable d'avoir une vie de famille stable,de faire confiance à l'autre, voir même de reproduire les mêmes mauvaises manières de celui qui se déchaînait sur leurs mère, parce qu'ils n'ont pas étaient aidés, que leurs propres mères n'ont pas crus bon pour eux de les séparer de cette brute ignoble, oui c'est ignoble de frapper sur une femme, de la rabaisser, etc, mais une femme à le choix de dire cet homme n'ai pas bon pour moi, je ne peux pas avoir d'enfant avec celui là, ou encore cet homme n'ai pas bon avec moi et avec l'enfant que j'ai de ma première union, il est hors de question d'en avoir un autre et surtout que je reste avec lui pour qu'il continue de rendre mon enfant malheureux et que les jours qui viennent il lui fassent encore pire, car n'oubliez jamais que le pire reste à venir, je l'ai vécus...
Ce matin j'écoutai sur rmc, le témoignage d'une mère qui avait perdu sa fille sous les coups de son compagnon, devant son petit fils de 3 ans,elle était anéantit,c'est compréhensible, mais elle était aussi en colère car on avait placé son petit fils, elle ne comprenait pas pourquoi on ne lui avait pas donnée, mais j'ai trouvé cela incroyable, es ce que l'on peut s'imaginer la violence que cet enfant de 3 ans à subit et surtout de celles qu'il a été témoins depuis sa naissance,c'est tout simplement impensable,cet être de 3 ans, à subit des violences inouïs, qui sont gravées en lui par un traumatisme qui risque de détruire sa vie, son avenir, des personnes bien plus vieille que lui et adultes n'ont jamais vécus ce que lui à son âge à vécus et vue de ces propres yeux d'enfant...
Comment aujourd'hui ne prend t-on pas plus de mesure pour protéger ces êtres innocents, qui eux n'ont pas eut le choix de rester ou partir, mais qui doivent subir obligatoirement, sans rien dire, imaginé la souffrance de ces enfants, de ces victimes, car oui ils sont aussi les victimes.
Mon cri là maintenant, c'est de demander à toutes ces femmes maltraitées, par pitié si vous avez des enfants, envisager d'en faire, en avait d'une précédente union, penser à eux,n'imaginait pas votre situation à ce que vous vivez, mais à ce que vous enfants subissent, voient, pour eux ayez le courage de dire non, de dire je m'en vais, je veux que mes enfants soient heureux et qu'ils ne soient plus témoins de toutes ces violences, car l'innocence de mes enfants doit être protéger, je suis leur mère et les protéger c'est mon devoir, après vous pourrez penser à vous, mais lorsque vous protégerez vos enfants, que vous les aurez retirés du milieu hostile ou ils étaient, alors vous vous protégerez vous même aussi, ne l'oubliez pas, le bonheur de vos enfants avant tout, eux n'ont pas choisis, c'est à vous de choisir pour eux,l'enfer ou le bonheur???
N'oubliez jamais le droit de l'enfance, c'est d'être heureux, aimé, de préserver son innocence le plus longtemps possible,ainsi comprenez que dans votre situation, vos enfants ne sont pas heureux et perdent leurs innocence, le plus beaux cadeaux fait aux enfants,face à cette constatation, le choix et fait, courage, force et que Dieu soit avec vous toutes de vos décisions, merci pour vos enfants, qui plus tard vous remercierons de les avoir délivrés de l'enfer.

Écrit le jeudi 24 novembre à Lagny-Sur-Marne, par Hugo Gall ( pseudo de TH..... GAL.... )Pour la journée de la violence faite aux femmes

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