vendredi 5 mars 2010

Mon histoire et mes conseils suite

Un entourage idéal pour commêttre l'irréparable sur un enfant:

Je tiens à dépeindre l'environnement dans lequel j'ai véccus pendant toutes ces années ou j'ai été avec ma mère et mon beau-père et où tous les sévices que j'ai subit se sont passés, pour que vous puissiez être encore plus vigilant et protecteur avec vos enfants, il n'y a pas de térrain spécial, car aucune classe sociale n'ai épargné, mais il y a des circonstances et des comportements qui y sont propices et il faut y faire très attention, pour l'équilibre et la sérénité de vos et nos enfants.

En arrivant dans cette nouvelle région et " nouvelle famille ", les feux étaient au rouge, rien allait et le plus sensé des humains, aurrait rebroussé chemin, mais encore une fois ma mère à persisté en me forçant de le faire avec elle, c'est ainsi que nous avons découvert un monde hostile, raciste, immonde, petit, hypocryte, méchant, mensongé, les années qui allaient suivres, allaient nous laisser plus d'une cicatrices et des bléssures indéllébiles, que je n'oublierai jamais, c'est pourquoi aujourd'hui quand j'enttend parler de '' racisme '' , que les '' français n'aiment pas toujours les mêmes " immigrés '' etc, cela réssonne en moi très violament, car moi et ma mère étions d'origine Italienne, ma mère 100% et moi 75%, nous avions la même religion, pratiquement les mêmes façons de vivre et surtout nous étions discrets et toute la famille à toujours tout fait pour s'intégrer et remercier la France pour l'avoir accueilli, mais là rien ne semblait plaire à cette '' belle famille '' et nous avons tout enttendu, de sale rital qui vienne bouffer le pain des Français, à moi qui était un sale batard qui fallait mêttre dans un orphelinat, car j'allais faire capoter la belle harmonie du mariage du fils " prodigue ", quand à ma mère elle avait droit au charmant patronyme d'espéce de divorcé, veuve, charmant je vous dit, un tableau idyllique, mais ce n'était que le début, la grosse vague viendrait plus tard et par plusieur succésives...

J'étais pourtant un enfant de 6 ans qui ne demandait qu'a être aimé, chéri, apprécié, mais je comprennai très vite que ces gens là, ne m'aimerait pas, ne nous aimerait pas était le meilleur mot à employer, car cela concerner ma mère et moi, mais même si ma mère les a bien subit et comme on dit si bien " pratiqué ", elle m'a donné cette bonne '' chance '' de le faire plus souvent et longtemps qu'elle, car dés qu'elle a accouchée de ma demi-soeur, l'unique héritiére de fis " prodigue ", elle a fait des dépréssions à répétition, qui m'ont fait être placé dans cette famille, j'ai eu droit à l'école du village, à être placé chez une soeur de monsieur, qui je dois dire ne m'aimait pas des masses, comme ça se ressentait bien d'ailleurs, mais je n'avais pas le choix et je suivais les épisodes dépréssifs de ma mère de loin, en les enttendant les commenter: elle est dans le coma et je sais pas si elle va en sortir, etc..., du haut de mes 7 et 8 ans, cela était intolérable, je n'avais que ma mère et j'étais entouré de vautour, qui se répéssait déjà de sa future dépouille, j'étais térrorisé, je regardais tout ces adultes si denués d'amour, de compassion, pourtant ils étaient tous fourrés à l'église dès que les cloches domnicales tintaient à tout va, charité chrétienne commence par soi-même, dit-on ???, oh que oui, je regardai un monde cruel et sans sentiment déambuller autour de moi et déjà, je me sentais défaillir, seul, impuissant, pourtant j'ai commencé à me faire une carapace en moi, pour me protéger sans doute de ce monde de brute et je commençai à me " faire tout seul ", c'est à dire: grandir seul, devenir plus grand, étape après étape; mais j'ai oublié l'enfant et sa souffrance, ses bléssures, ses meurtrissures et je n'ai pas compris que mon corps au fur et à mesure des années grandissait et devenait adulte, alors qu'a l'intérieur l'enfant bléssé n'avait pas grandi d'une seconde, il c'était arrêté ou on lui avait fait tant de mal et surtout à la perte de cet être cher, qu'on lui avait prit, ce qui entraina tout au long de ma vie, de grosse et grave lacune et faut jugement de beaucoup de monde, ainsi que des institutions de l'état ( assistantes sociales,école, lycée, armé, employeurs, etc...)qui ont vu plus souvent en moi, un " faignant ", " incapable ", etc..., plutôt que de se pencher réellement sur les vraies raisons de mes " absences " et mauvaises attitudes, tout ces " humains " à un poste ou un autre, ont détruit l'enfant que j'étais et l'adulte en devenir que j'aurrai du être.

( Ici je vous demande de faire très attention à vos enfants dans toutes ces institutions de l'état, qui même s'ils ont de gros problémes avec les violences à l'école, etc...Ils sont loin de faire attention aux enfants qui souffrent en silence ou sont mal à l'aise pour une raison ou une autre, ils privilégient les meilleurs et tant pis si les autres ne suivent pas, ne comprennent pas, ces gens sont tout simplement inapte à la douleur d'un enfant, sauf à leurs propres mal être d'enseignants bien sur, c'est si '' humain "...Pourtant c'est eux qui ont en charge la sécurité, le dévellopement dans la société, qui leurs apprénent à devenir des citoyens, seulement il y a tant de ratés et d'enfants refoulés, incompris, laissé pour compte par des instituteurs, profésseurs,préssé de rentrer chez eux et surtout de ne pas se poser les vraies questions, problémes, pret à rayer un éléve de leurs vues, simplement parce qu'il est différent ou ne pense pas et ne réagit pas comme eux, tout le monde n'ai pas socialiste, syndicaliste et fonctionnaire, malheureusement, l'esprit reste à ce niveau, avec tous les ravages que cela implique pour ceux qui passent dans les mailles des filets de ce genre de personnage, alors soyez vigilant, un enseignant n'a pas la science infuse et n'ai pas tout comme le titanic insubmerssible, restait à l'écoute de vos enfants, dans leurs études, leurs écoles, lycées, soyez plus présents, écouté, regardé, pensé, vérifié, analysé, vous serez encore plus proche de vos enfants et vous pourrez réagir au moindre " déraillement ", n'oubliez pas encore une fois, tout ce que vous faite, c'est pour eux, pour qu'ils soient des adultes équilibrés, épanouis, prêt à affronter la vie, ils vous en seront éternellement reconnaissant croyez moi, des enfants aimés, enttendus, n'oublierons jamais leurs chances d'avoir eut des parents qui les ont aimés...)

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