mercredi 3 mars 2010

Mon histoire et mes conseils suite

Ma petite enfance sans mon père:

Il reste des traces en mon corps de cette difficile et dure période, un mal être d'incertitude, de grande instabilité, une mère qui joue les me voilà et hop je disparait, je reviens et je repart, tout ce petit jeu a duré pendant des années avec moi,c'était les dépréssions, les maladies, les accidents domestiques, mais moi pendant ce temps, j'étais chez les uns ou chez les autres, en tous les cas je n'étais pas chez moi et pas avec ma mère, allez savoir pourquoi, quand ma demi-soeur est née, elle a eu droit à toutes les attentions particulières et surtout à une différente prise de considération quand ma mère était absente, du style chez nos oncles et tantes, jusqu'a aller en Italy chez ma grand-mère maternelle et pendant des mois, toutes les attentions pour elle je vous dit, moi je n'ai jamais eu ça, c'est comme si je criai et qu'elle ne m'enttendait pas, j'étais devant ces yeux et elle ne me voyait pas, alors je comprend mieux que le pire qui est arrivé après, ai pu arrivé, j'étais transparent pour elle, ai-je existé vraiment un jour pour elle...

A cette époque on a commencé à dire que j'étais dur, impossible, ma tante ( la femme du dernier frère de ma mère ) avait peur quand j'arrivais chez elle pour jouer avec mon cousin qui était juste un peu plus jeune que moi, j'avais 3 à 4 ans, le pire c'est que cette étiquette ils me l'on collé toute mon enfance, adolescence, sans chercher à comprendre, savoir, même si c'était vrai, j'avais perdu mon père, ma mère partait en life, j'étais vivant, mais ils ne semblait pas en être conscient, car je les agaçait tous plutôt qu'autre chose et pourtant j'étais un enfant qui souffrait, à qui on avait presque tout pris et qui était seul, personne ne m'a tendu la main à ce moment là et pour clore le tout, ma mère rencontre un homme qui venait au café ou mon oncle ( l'ainé des fréres de ma mère, il avait reprit avec sa femme, le café,hotel, de ma grand-mère,en se fâchant au passage avec toute la famille, sauf au début avec ma mère..)lui avait présenté, comme quelqu'un de bien ( hihihihi ), qui venait de sa Haute-Marne natale ( 52 ), un département qui à cette époque était encore peu dévelloppé et on il régnait une mentalité de petite gens con, jaloux, méchants, bêtes, pourtant c'est ce que ma chère mère choisie, elle se remaria avec cet homme, alors qu'elle aurrait pu avoir de beaucoup plus beaux et meilleurs prétendant, tout ça pour fuir toute cette famille et vie qu'elle ne voulait plus, seulement elle m'emmenait moi aussi dans ses bagages, pour une région que l'on ne connaissait pas, des gens que l'on ne connaissait pas non plus et tout cela on allait le payer, surtout moi l'enfant indéssirable, très cher, très très cher, tout ça pour avoir droit à son indépendance, ma mère avait les neurones qui devait être en ébullition à cette période et en plus elle devait être aveugle, malgré tout ça, on se retrouva dans un hotel dans le centre de Vittel, dans les Vosges, ou nous allions habiter pendant quelques années et ou les prémices de sévices, maltraitances, commencérent à montrer leurs visages, mais surtout ça commença, par des souffrances psychologiques intenses, presque inssuportable, pour un enfant de mon âge, qui avait maintenant 5 à 6 ans.

Je me souviens du début de leur mariage, ou on était dans le village natale de mon beau-père et ou c'était la fête au village, avec biensur le bal incontournable, mais ou ma mère accepta de danser avec des copains à son mari, en tout bien tout honneur, cependant le monsieur ne l'enttendait pas de cette oreille, je le revoit arriver sur ma mère la bousculer et devant tout le monde l'insulter de tous les noms, salope, putain etc... un grand chapelet de bons mots bien choisis, je crois que c'est à cet instant que j'ai commençer à avoir très peur de cet homme et que notre vie à ma mère et moi à basculée, pour l'enfer, il était pourtant encore temps de partir au plus vite, avoir conscience qu'elle c'était trompée, mais non ma mère persista et nous restames dans cet étrange région et famille qui ne nous aimait pas, mais alors pas du tout et ils allaient bien nous le prouver pendant des années, comme dirait un réalisateur de cinéma, qui recevait son prix de la meilleure réalisation à Cannes et qui se fit siffler aisement, " vous ne m'aimait pas, eh bien moi je ne vous aime pas non plus, aujourd'hui je peux le dire vraiment, je n'aime pas cette famille qui a tout fait pour faire encore plus souffrir l'enfant que j'étais et qui était dans la térreur, une térreur qui ne c'est pas couché sur mes nuits et mes jours tout le temps que je resta avec ma mère, voir encore plus longtemps, car certain jour à 46 ans, il m'arrive encore de ressentir, de vivre cette térreur et ces angoisses, alors comment aurrais-je pu et pourrais-je être un homme accomplis, équilibré, épanoui, jamais, ils m'ont tout pris, les uns après les autres, ils ont pompés mon âme et mon coeur, jusqu'a faire de moi, une bête appeurée, désorientée, térrorisé...

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