mardi 9 mars 2010

Mon histoire et mes conseils suite

Les dérives de l'alcool dans la maltraitance :

L'alcool est une drogue dure comme d'autres bien connues, pris à hautes doses, cela devient dangereux et incontrolable.

L'alcool désihibe la personne qui en prend, il devient soudain très libre, tout lui semble à porté de main, il se sent fort, invincible, alors tout ce qu'il n'ose faire ou dire en temps normal, il va hardiment vous l'offrir sur un plateau après quelques verres qui vont le rendre soudain plus ouvert à tout, seulement si la personne en temps normal à des travers, imaginé ce que cela peux donner, rien ne peux l'arrêter, ça devient une arme de guérre et je peux vous dire que je l'ai vu, j'en ai eu très très peur, j'ai subit les éffets de l'alcool, surtout les éffets secondaires, la destruction de tout, de famille entiére, alors ne laissait pas par pitié l'alcool entre des mains qui ne savent pas l'utiliser avec modération et ne laisser surtout pas assister vos enfants à la déchéance et au changement en bête incontrolable d'un de vos proches, car pour l'enfant cela peut devenir un traumatisme dont vous n'avez pas idée...

Les complications et séquelles de la maltraitance sur un enfant:

Moi j'ai subit de plein fouet la maltraitance, depuis la mort de mon père, entre les adultes qui devaient me protéger et en l'on pas fait et le nouveau mari de ma mère qu'elle ma imposer avec la descente en enfer que cela a impliqué, alors il c'est produit en moi plusieur complications et ce qu'aujourd'hui je qualifierai de séquelles, comme: la difficulté de comprendre des régles de conjugaisons, grammaires, calculs, de retenir des leçons, de me concentrer en classe ou ailleurs, je m'ennuyai aussi très vite, j'avais besoin de bouger, parler et malheureusement toutes ces " contres-indications " ne m'ont pas quitté en grandissant, dans mes classes supérieures et mes futurs emplois, sans compter que mon corps grandissait, certe, mais à l'intérieur j'étais l'enfant qui était resté à la mort de son père, de ce 1er choc indigeste pour moi, alors inconsciement je portai cet enfant en moi, avec sa fragilité, sa franchise implacable, ses souffrances immenses et indéllébiles, je cherchai aussi dans les personnes que je croisai, un frère, un père, un ami et je leur donnait aussitôt toute confiance, tout pouvoir, convaincus qu'ils sauraient m'aimer, me comprendre, m'aider, me soutenir, mais malheureusement les choses ne se sont pas passé comme ça, j'ai eut déssillusions, sur déssillusions, ruptures sur ruptures, sans comprendre, sans voir, comparant tout ça à de la trahison, l'enfant qui était en moi ne comprenait pas pourquoi tout ces gens me faisait si mal, alors je suis devenu un enfant en révolte, déçu par ce monde, mais au fond de moi malgrè tout il y avait toujours cette lumière qui me disait qu'il fallait encore y croire, faire confiance, s'accrocher, un jour il finirait par avoir autour de moi, des personnes qui m'aimeraient, me croiraient,me donneraient leurs confiances, même si le chemin serait dur, long, pleins d'ornières et d'épreuves.

J'ai traversé des souffrances immense dans le parcours scolaire, fait d'incompréhensions, de jugements hatifs, de délaisements, d'ignorances, je dirai que les institutions de l'état mon fait en plus de tout ce que j'ai subit, beaucoup de mal, je me rappel un directeur d'école, qui était aussi mon instituteur, monsieur Collignon, j'étais en ce1, ou Ce2, je ne sais plus très bien, ce que je sais, c'est que cet homme, me donnait des coups de régles ( Catherine, il l'appellait...)sur les fésses, les mains, parce que je ne savais pas mes leçons, etc...Mais cet homme aussi directeur qu'il était, ne c'est jamais posé les vraies questions, les vraies incertitudes, non, comme tout ces collégues, il m'a vite rangé dans les " incapables ", seulement cette étiquette je l'ai porté toute ma vie, dans le familles, les études, les rencontres, les employeurs, ou pour moi rien était adapté à ma situation, tout comme à l'école, allait beaucoup trop vite pour moi, les gens autour de moi ne me comprenaient pas, se faisaient des fausses idées sur moi et je finissait par être exclus, porter une image qui n'était pas la mienne, j'ai souffert plus d'une fois de tout cela, mais aucune institution, aucun médecin, etc, ne m'a peré vraiment à jour comme on dit, je me suis battu, à en crever chaque jour, pour éssayer d'être " normal " comme les autres, seulement je devais marcher dix fois plus vite, courir vingt fois plus vite, pour juste éssayer de les rattrapper, personne n'a compris toute ces bléssures, ces souffrances, on disait facilement que je n'apprenait pas mes leçons, que je n'avais pas enttendu les ordres, les consignes, etc...Mais mon esprit ne me renvoyait jamais les mêmes sons, les mêmes choses et on pouvait me rabâcher 100 fois les mêmes choses, si mon esprit ne voulait pas l'enregistrer, il ne le faisait pas...

On peut me donner 3 ou 4 consignes à la fois, et bien, soit je vais en faire une seule, soit je ne vais m'en rappeller aucunes, soit je vais carrément faire autre chose de tout ce qu'on m'a dit et ça été tout le temps comme ça, j'étai totalement prisonnier de mon esprit, mon corps,alors imaginé vous ce que mon cher beau-père à pu dire, faire, entre baffes, féssées, etc...

Je me rappel des soirées, ou après manger, il m'obligeait à repprendre mes devoirs, à coups de claques, etc...Jusqu'a des minuit, 1heure du matin, alors que j'avais école le lendemain, mais que croyait vous qu'il en resta le lendemain, rien, et encore une fois, que faisait ma propre mère, comment pouvait-elle accepter toutes ces choses, ces humilliations,non ce n'était pas ma mère, cette femme là, était une étrangére à tout ce que je pouvais vivre et recevoir, je ne vois pas d'autre solution.

Alors je vous en pris, vous qui êtes mère, aimez vos enfants, protégé les contres ceux qui veulent leurs faire du mal, quelqu'il soit, leur père, votre concubin, etc...Vous êtes la seule personne qui peut sauver la vie de votre enfant, si Dieu vous à permis de concevoir un enfant pendant neuf mois, ce n'ai pas un hazard, il vous a été confié, pour en prendre soin, jusqu'a son propre envol, vous n'avez pas le droit de regardez celui ou ceux qui lui font du mal, sans réagir, sans lui venir en aide et vous impliquer...

Je revois aussi un jour on je sortai d'une maladie qui m'avait cloué au lit pendant une quizaine de jour et le samedi avant de repprendre l'école, ma mère décida qu'on aille faire les courses à Nancy, à un grand centre commercial, à une soixantaine de kilométre de chez nous, mais en plus on y passerait la journée, seulement elle m'obligea avec mon beau-père, d'aller voir mon instituteur ( le directeur ) et de lui dire que je ne venais pas à l'école ce matin là car je partai faire les magazins " en famille ", j'étais ouvert de honte et de peur, mais les deux protagonistes n'eurent pas de pitié pour moi et je du me réssoudre à y aller, la peur au ventre, je ne sais pas ce que pensa monsieur le directeur de cette " farce ", mais intélligent comme il devait l'être il aurrait du rectifier le tire me concernant, seulement je n'ai jamais rien vu de changer après tout cela,maintenant je me rend encore plus compte, combien ma mère à eut une impact direct sur tout ce qui m'ai arrivé, pourtant j'ai mit des années à le comprendre, à le croire...

Une année ils m'ont même fait croire que j'allais en colonie de vacance à la mer, car l'année précédante j'étais allé au Tréport, ou j'avais beaucoup aimé, c'était super, je m'étais bien amusé et javais eut des copains et fait plein de chose, alors là j'étais très content d'y aller, alors j'y suis aller en confiance, seulement au fur et à mesure que le voyage se faisait je me rendait bien compte que la mer était loin, même très très loin et qu'en plus on ne partait pas si loin de la chez moi, finalement le car qui me conduisait à la colonie de vacance s'arrêta et se fut un vrai calvaire pendant à peu près 1 mois, ils m'avaient mit en colonie de vacance de " redressement ", avec un réglement très strict, des jets deux froides, des siestes obligatoires, des moniteurs durs, etc...J'en suis revenu déçu, interdit, je ne comprenais pas, je leur ai pourtant bien dit que j'avais pas apprécié et que je ne voulais plus jamais aller en colonie de vacance, ce qui d'ailleurs ne se fit plus, avais-je gagné, ça je ne l'ai jamais su...

J'ai aussi fini par partir en vacance, chez mes grands-parents paternel, avec qui ma mère c'était faché un long moment, mais je pus retourner chez eux, avec mon grand-père que j'aimai tant, il était si doux et gentil avec moi, je n'oublierai jamais son regard avec ses yeux bleus azur qui vous transperçaient le coeur et l'âme par sa bonté, ce qui n'était pas le cas pour ma grand-mère, peste et médisante devant l'éternel, enfin, tout ça pour dire que je me rappel des oncles et tantes, cousins et cousines, qui venaient profiter des pauvres vieux, boire la cave de mon grand-père, profiter de leurs argents, etc...Je me rappel surtout d'une certaine Joëlle et de son cher mari J-P, qui m'ont traiter de salle môme mal élévé, que ma mère gatait beaucoup trop et qui faisait de moi un " fils à maman ", cela résonne encore en moi, comment ont ils put dire de t-elles choses, alors que je vivais un enfer et que j'étais en " récréation " chez mes propres grands-parents, voilà tout ces gens que j'ai tant croisé, qui ne savent que juger sans savoir et faire mal, des gens de votre propre famille, ce qui fait qu'aujourd'hui je n'ai plus personne, entre ceux qui m'ont jugé imposteur et d'autre qui ne vallait pas la peine, le total est Zéro, ont choisi ses amis, mais pas sa famille, mais aujourd'hui je peut rajouter, on ait pas obliger de s'enttendre avec sa famille, surtout de toujours baiser la tête et de tout accepter, pour ne pas vexer, blésser, untel ou untel, seulement quand ceux-ci ont envie de vous moucher, ou de vous dire vos quatre vérités, ils ne se gêneront pas du tout, alors vivez simplement votre vie et que se soit de votre famille ou des étranger, la vie est trop courte et bien dur, ne vous embarrassez pas et ne vous faite pas de mal, avec des gens quelqu'ils soient qui vous font souffrir et vivre d'affreux moments, laisser les vivres dans leurs mondes et vous vivez le votre, votre vie n'en sera que meilleure....

Je revois aussi toutes les différences que j'ai subit, quand à Noël et au jour de l'an, on allait chez la chere famille de mon beau-père, avec ma demi-soeur, la belle-mère, donnait devant moi, un paquet de bonbon à ma soeur une belle pièce et des clémentine, ensuite elle se tournait vers moi et elle me tendait un paquet de bonbon ouvert, ou elle me demandait d'en choisir quelques uns et elle me donnait une ou 2 clémentine et c'était tout, je me rappel de tout ça comme si c'était hier, j'en ressent un grand sentiment de mal à l'aise et d'injustice, mais que faire devant des personnes butés, méchantes, malvaillantes, la connerie et la bétise humaine sont l'intélligence des imbécilles....

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