lundi 8 mars 2010

Mon histoire et mes conseils suite

Inceste, maltraitance et les facteurs agravant:

J'en viens ici à raconter les violences psychiques, physiques, que j'ai subit, avec biensur un facteur térriblement dangereux et au combien agravant qui est l'alcool, ne jamais sous estimer ce facteur impitoyablement destructeur, il anéantit tout autour de lui, quand vous lui rajouter un individu jaloux, violent, insatisfait sexuellement, vous obtenez la combinaison explosif, pour faire un parfait abuseur d'enfant, voir bien pire...

A mon époque il faut dire que les pères, beaux-pères, étaient tout puissant, ils avaient tous les droits sur leurs enfants, quand à l'alcool, il était considéré comme un nectar pour les " hommes " les " vrais ", si tu ne buvais pas tu n'étais pas un homme et les cuites étaient légion, c'était cette belle France de l'époque qui à fait sous couverts d'une grande tradition, une immense destruction de familles, enfants, etc..., mais tout le monde fermait les yeux, c'était tellement " viril ", qu'elle idiotie et imbécillité mortelle, il ni a qu'a voir les dégâts de la routes, ajouter à cela les morts et destructions " collatérales ", vous obtiendrez une liste incroyablement immense des dégâts occasionné par l'alcool...

Je revois donc des scénes délirantes, horribles, pour un enfant, des cris et des hurlements, ma mère devenant hystérique, le suppliant d'arrêter de l'insulter, de la chercher, puis le menaçant de se jeter de la fenêtre du 4 éme étage, je revois encore ma mère, ouvrant la fenêtre, montant dessus et prête à se jeter dans le vide, j'étais totalement livide, interdit, parralysé par la peur et l'incroyable souffrance qui emplissait mon être tout entier, je ne sais plus comment les choses se sont calmé, mais je me rappel de cette scéne, elle est gravé en moi a jamais, je n'avais que 7 ou 8 ans, ma demi-soeur venait de naître et nous avions quitté l'hotel ou nous habitions en arrivant dans cette région et cette ville.

Une autre fois, j'avais inconsciement, surement, tellement marre de cette asmosphére étouffante, que je m'étais fait invité par des camarades ( 2 frères ) chez eux, je ne voyais pas le temps passer, mais en plus au fond de moi, je ressens comme une pensée qui me disait qu'il fallait rester là, ne pas partir, seulement au bout d'un moment, c'est mon oncle, le frère à ma mère, en déplacement dans la région qui est venue me chercher, me faisant une grosse leçon de morale, me parlant sur un ton très haut, je ne comprenais pas, mais lui que savait il vraiment, a t-il cherche à savoir ce qui se passait, il a vu sa soeur dans des états lamentables de dépréssion, d'infinie tristesse, mais jamais il n'a bronché, surtout pour moi, pourtant ils disaient tous que mon père était quelqu'un de tellement bien, etc...; malgrè tout cela ils n'ont rien fait, rien, ils m'ont tout simplement abandonné, préférant me classer dans les enfants difficiles...

Je revois encore d'autres scénes, mais cette fois quand nous avions amménagé dans la maison qu'ils avaient fait construir, avec l'argent que ma mère avait reçu à la mort de mon père, nous habitions désormais à Neufchâtau, à 30 kilomettres de Vittel, cette maison recevra toutes les plus grandes bléssures et souffrances de ma vie, qui resteront à jamais impreigné en ces murs, si elle pouvait parler, je suis certain qu'elle ferait fuir ces nouveaux propriétaire.

Mon beau-père allait souvent le wknd dans son village natale ou était toute sa petite famille bien sympatique ( souvenait vous ...), il coupait du bois, mangeait chez sa cher maman, qui se faisait un malin plaisir machiavélique, à lui dire en lui servant à boire: mon Pierrôt, tient bois un coup, ne te laisse pas faire par ta rital et son bâtard et montre leur que tu es l'homme de la maison et que c'est toi qui commande et la sale sorciére refaisait cette petite scénes plusieurs fois dans le temps que son " cher fils " était avec elle, je peux vous dire que c'était aussi éfficasse que si on jetait un sort, car quand l'homme revenait de sa virée de chez maman, il n'était plus un homme, mais une bête inhumaine, on enttendait les portes de la voiture claquer au sous-sol, avant même qu'il soit devant nous on savait que ça allait être dur et que Dieu seul savait ce qui allait encore arriver, je me souviens de cette fois ou il est arrivé, le regard méchant, dur, commençant à dire des horreurs à ma mère, puis les choses on monté, encore de plus en plus, je ne me souviens plus exactement des termes, mais c'était encore insultes sur insultes, repproches sur repproches, mais cette fois c'était encore plus grave que d'habitudes, car nous étions térrorisés, compétement figé, il nous faisait vraiment peur, on aurrait dit une bête qui était prête à tuer, alors pour la seule et premiére fois, ma mère c'est enfermé avec moi et ma soeur, dans la salle à manger et le salon, qu'elle a fermée à clef, espérant qu'il n'en vienne pas à éventrer la porte, je me souviens de cette peur qui me tétanisait, nous étions les uns contre les autres et on l'enttendait tout casser dans la maison, vociférer à tout va, c'était comme une tempête qui commence, qui vous fait énormément peur et don voux vous demandez quand va t-elle finir et surtout que va t-il advenir de nous, comment tout va être après ???

Quand ma mère sentit qu'il était surement endormi dans un coin, elle nous emmena coucher dans nos lits et la vie reprit, je n'arrive pas à comprendre, comment ma propre mère à pu me faire vivre tout ces violences, sans jamais être partis, qu'avait-elle à gagner dans tout ça, mais surtout quand pensait-elle à moi, à t-elle seulement une seule fois pu se demander, ce que j'allais devenir avec toutes ces épreuves que je vivais et que l'on me faisait vivre???, jamais je crois...

Une autre fois, ils se sont mit à se disputer très violement, le ton montait encore plus fort qu'a d'autre instant et ma mère cria arrête j'en peux plus, j'en peux plus, soudain la vitre de la porte du sous-sol vola en éclats et du sang jaillit de partout, c'était l'horreur, ma mère était en sang, sa main, son poignet, son bras était passé à travers cette vitre et l'avait coupé dans tous les sens, j'étais sans dessus-dessous, j'avais si mal pour ma mère, comment pouvait-il lui faire tant de mal, nous faire tant de mal, qui était cet homme qu'on m'avait imposé et que ma mère avait choisi, je voulai mon père, je voulai l'appeller, le suplier qu'il vienne nous délivrer de toutes ces horreurs, ces violences gratuites, je n'en pouvais plus, j'avais envie d'enttendre et de voir autre chose, envie de partir, mourir, rejoindre mon père...

Une autre fois, une bagare entre les deux protagonistes habituel éclata, mais cette fois ma mère ouvrit la porte et disparut de notre vue, le temps passa, mais elle ne revenait pas, alors l'angoisse me prit, qu'avait-elle fait, ou était-elle, lui fini par se demander ce qui se passait et partis à sa recherche, nous laissant moi et ma soeur à notre propre sort, l'attente était insuppotable, j'étais jeune mais je savais ma mère capable de beaucoup de chose contre elle, j'en avait déjà eu de bels exemples et je craignai le pire, au fur à mesure que le temps passait et qu'elle ne rentrait toujours pas...

Elle rentra avec lui beaucoup plus tard, elle avait été se perdre dans un bois, ou on l'avait retrouvé déambulant,ce soir là tout le monde regagna son lit et un calme olympien régna sur la maison, pour une fois ...

Une autre fois, il m'avait dans le nez, comme bien souvent d'ailleurs, alors il c'était fixé sur ma coupe de cheveux qu'il ne lui convenait pas, mais pas du tout, alors après m'avoir dit plusieur fois que ça lui plaisait pas, il fini par m'attrapper en prennant soin de prendre un ciseau avec lui et il me coupa les cheveux en me les massacrant biensur, faisant des trous de partout et des inégalités, une horreure, ensuite il m'attrapa violement et me ferma à clef dans le grenier, je me rappel de la honte que j'ai ressenti après et pendant un long moment, dans le grenier je me sentais dévasté et quand je repense à toutes ces scéances et ces épreuves qui ne finissaient pas, je me pose encore cette question, pourquoi ma mère, ne l'a t-elle pas arrêter dans ces violences contre moi, à part arrête, arrête, dont vous pensez bien il n'en avait rien à foutre, mais quand à lui dire ce que chaque mère devrait dire: c'est la dernière fois que tu le touche,si tu oses recommencer, je prend les enfants et je m'en vais et je porte plainte contre toi, mais non ce que j'attendais n'ai jamais venu et le pire et venu, car malheureusement, quand on ne fait rien contre les violences familliales, conjugales, elles deviennent crescendo et dangereusement incontrolâble, mais le pire c'est un être violent, jaloux, méchant, bien alcoolisé et poussé à faire le mal par sa famille, avec la seule idée, détruire ce gosse, qui est l'image incéssante de son père qui a été l'homme qui a couché avec sa femme...

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire