mercredi 31 mars 2010

Mon histoire et mes conseils

Quand le piége se referme, la fin de l'innocence et la mort de l'enfance:


Que dire pour être le mieux compris possible et être dans le bon ton, le mot juste, mais finalement rien n'ai plus simple que de dire les choses tels qu'elles sont, comme elles sont arrivées, sans chercher à vouloir '' être un instituteur du bon mot ", comme je l'ai toujours enttendu, un chat est un chat...

Alors que je comprenais tout juste ce qui c'était passé, quelques jours plus tard, mon beau-père enchaîna sans perdre de temps, c'était encore dans la salle de douche, il m'entraina a venir avec lui sous la douche et entreprit de me savonner, il prit biensur un malin plaisir à le faire dans les régles de l'art, en éssayant de réveillé en l'ado que j'étais tout juste, des carresses sensuelles qui donnaient à mon corps des signeaux que je ne comprenait et ne connaissait pas, mais que lui seul savait on ça allait nous emmener.

Aussi quand il sentit que j'étais prêt à être ce qu'il voulait que je sois, alors il me pénêtra, pour la première fois, je ne sais plus trop ici, maintenant si celà m'a fait mal, mais ce que je sais, c'est que lorsque tout fut fini, je remontai dans ma chambre et me mit à me cracher à la figure, par miroir interposé, je me donnais des coups de poings dans le ventre, j'étais écoeuré de ce qui venait de se passer, je prennais soudain conscience d'une chose qui me dépassait et que je ne pouvais pas gérer, pas révéler, je crois qu'a ce moment je sus que je devais supporter et être muet comme une carpe.

Je savais aussi que quoi que je disa, personne ne me croirait, ma mère la première car elle même n'avait pas été cru par sa propre mère quand son beau-père avait voulu la violer et puis ma vie était déjà si dure et difficile, devais-je en rajouter en racontant ces choses???

Je ne sais pas ce que j'ai pensé réellement, voulu à ce moment là, mais ce que je sais aujourd'hui, c'est que tout celà allait durer pendant des années, avec un silence intolérable, un secret pesant qui ne fut gardé qu'entre lui et moi, il a très bien su en jouer.

Ce que je me souvient surtout, c'est avoir eut des envies de mourir, de me suicider, je ne supportais pas cette image de moi, ces choses abjects qu'il me faisait faire, en s'arrangeant biensur, la plus part du temps, pour me donner du plaisir, incontrolable biensur, quand on est un jeune homme de 14 à 15 ans, surtout à cette époque et comme moi je l'étais, on ne savait comment gérer ces choses là, d'ailleurs je ne savais même pas comment était fait une femme exactement, pour ça il m'a fallut attendre la naissance de mon fils il y a 14 ans ( moi qui en ai 46 ans ) imaginer, j'ai même réussi à faire 2 enfants, sans savoir comment ça fonctionnait précisément, c'est lorsque j'ai assisté à l'accouchement de mon fils que j'ai compris ma bétise, mon ignorance,j'en ai eu beaucoup honte, mais que pouvais-je y faire, j'avais été si traumatisé, je l'étais encore, qe tout ce que j'ai véccus après, c'était comme un mécanisme bien huilé, qui fonctionait tout seul sans se poser de question, tout ça à durer longtemps, jusqu'au jour ou mon moi intérieur, ma conscience, m'a rappeller qui j'étais et ce que j'avais véccus, alors à cet instant, tout c'est éffondré comme un château de carte et il m'a fallut rammasser toute ma vie et mon âme en lambeau, pour pouvoir me reconstruir, mais le chemin à été long, douloureux, térrible, il m'a fallut beaucoup de foi, de force, de persévérences, pour accepter de vouloir me faire aider, entourer, pour mieux repartir sur de bonnes et nouvelles bases, pour dire vrai, j'ai commencé vraiment il n'y a pas si longtemps, il y a encore beaucoup à faire et il faut encore de la patience, mais je sais que j'ai bien fait et que je suis enfin sur la bonne route, je regrétte seulement de ne pas l'avoir fait plus tôt, mais avant ce n'était pas mon heure, je n'étais pas encore prêt.

Les choses ont prit une autre dimension, après que m'on " cher " bourreau, m'ait " initié " à son plaisir, j'étais soudain devenu sa chose, c'était quand il voulait, avait envie, et moi je ne pouvais refusé, d'ailleur j'avais fini par comprendre, que lorsqu'il avait sa " dose ", cela le calmait et les choses à la maison, était beaucoup plus supportable, alors quand je sentais qu'il allait dépasser la ligne et que nous allions vivre un enfer, il m'arrivait souvent quand je détectais les lumières, d'aller à sa rencontre, pour qu'il puisse faire son affaire et qu'ensuite nous soyons tranquille et qu'ainsi ma mère et ma soeur n'ai pas à vivre encore ces scandales...

Quand on est enfant, on comprend beaucoup plus de chose que les adultes croient, aussi on trouve des solutions à certaines choses, qu'ordinairement on ne saurait pas trouver, je crois surtout que c'est notre sens de la survie, comme une protection, un carrapace que l'on se construit au fils des épreuves, pour nous rendre plus fort, sans ça, je crois que je n'aurai pas survéccus, Dieu m'en ai témoins, sans oublier la grace de Dieu, car même si à ce moment là, je n'avais pas encore la notion de la foi, il m'arrivait bien souvent d'en appeller à Dieu, pour m'aider à supporter tout celà, à survivre, car ce n'était pas une vie, non ce n'était qu'une survie, rien de plus, une horrible survie, un cauchemard vivant, recommençant chaque jour nouveau, qui semblait de pas avoir de fin, il était difficile pour moi, d'imaginer une autre vie, un avenir, ma propre identité, j'étais aussi loin de savoir et de penser que celà allait bousiller toute ma vie, tout ce que je devais être, mais ça quand on est enfant et que l'on vit ces choses, on y pense pas, on ne sait pas, on vit au jour le jour, espérant qu'un jour peut-être, ça s'arrêtera...

jeudi 18 mars 2010

Mon histoire et mes conseils, suite...

Quand l'innocence est tuée:

C'est un moment difficile pour raconter le passage ou tout à bousculé, ou de l'innocence d'un enfant, je suis passé au monde dépravé d'un adulte sans scrupules et sans barrière.

D'abord j'aimerai dire que je n'ai jamais été en avance sur la sexualité, j'étais un enfant qui avait 13 ans, presque 14 ans et qui ne se posait pas de question, j'étais loin de tout ça, autour de moi gravité pas mal de garçons, surtout dans ma classe de 5éme, mais je ne l'ai enttendait pas, tout du moin pas encore, il ni a que lorsque je jouais aux petites voitures que j'entrouvais une porte liée à la sexualité, autrement dit, je m'inventais être un homme et une femme qui se construisaient une belle maison dans le sable, ils avaient de belles voitures, une belle vie et puis ils leurs arrivaient aussi des épreuves de la vie, c'était mon imagination, ils avaient aussi des enfants, des bébés, bref, c'était la vie, mais je ne sais pas si dans ma tête alors, avec tout ce que j'avais déjà véccus, je prennais la mesure de toutes ces choses que je ne connaissais pas, puis je pense aussi que je souffrais déjà pas mal de ce monde d'adulte, ce qui fait qu'a ces instants ou je pouvais vivre en étant un " vrai " enfant, alors je les vivaient à 100 à l'heure, sans me soucier de la moindre importance de mes jeux...

Aussi quand mon beau-père arriva vers moi, une fin d'après-midi, ou nous avions tous étaient en sortie au lac de Contrexéville à côté de Vittel, je n'ai pensé à rien et ne m'attendais à rien, d'abord aussi parce qu'il ne c'était jamais intérréssé à moi en tant qu'enfant, personne, seulement pour me faire du mal, m'insulter, me rabaisser,alors j'étais loin de m'imaginer quoique se soit...

Il vanait de prendre une douche, dans la chaufferie qu'il avait aménagé en y ajoutant une douche, pour les '' hommes '' comme il avait dit, alors je savais qu'il avait fini et j'attendai qu'il sorte de la douche pour que j'y rentre à mon tour, au moment on nous nous croisiâme, l'un allant et l'autre sortant, il me fit une reffléxion, du style: " tu bandes " ???, puis aussitôt il enchaina avec: " tu sais ce que ça veux dire une pipe " ???, je ne réalisais pas toutes ces choses qu'il me disait et je ne comprenais tout simplement pas ou il voulait en venir, ce que par contre il me vint à l'esprit aussitôt, c'est que jamais il ne m'avait parlé comme ça, comme si soudain j'étais devenu son " pote ", moi qui aurrait toujours voulu qu'il s'intérrésse à moi et qu'il soit le père que je n'avais plus, je me suis soudain ouvert à lui et le piège se referma aussitôt sur moi, il me dit soudain: je vais te montrer, il se mit devant moi et me fit une félation, puis il se releva et me dit de lui en faira autant, sans comprendre je lui fit et après il me dit, la prochaine fois je te montrerai ce que c'est " une sodomisation ", mais surtout tu ne dis rien à ta mère, c'est un secret entre nous ...

Je n'avais rien compris et rien vu venir, comment pouvais-je être aussi naïf et bête à ce moment là, mais je n'avais aussi jamais était cherché ces choses là et voilà que l'on mit entrainé sans préambule et sans me prévenir du danger, mais il était déjà trop tard, le loup avait commencé à me dévorer et ma vie, mon corps, mon esprit d'enfant ne m'appartenaient déjà plus et j'allais le payer très cher, car ça allait détruire tout ce que j'aurai pu être et devenir, se fut un véritable ras de marrée intérieur, avant de devenir un cancer qui me rongea pendant des années entières...

Le lendemain commença pour moi, un nouveau éclairage de la vie, quand j'arriva dans la cours de mon collège, j'enttendis les garçons parler entres eux et à cet instant, je reçu comme un coup de couteau en moi, leurs mots, leurs phrases que jusqu'alors ne m'atteignaient pas, ne comprennaient pas, surtout n'enttendaient pas, à ce moment là devinrent si limpide et réelle, ils parlaient de sexe, de filles etc..., et là je compris soudain ce qui c'était passé la veille avec mon beau-père, mais c'était bien trop tard, jamais il n'aurait du se passer tout cela, c'était interdit,je prennais conscience que je méttais fait avoir, mais il était impossible de revenir en arrière et que j'étais soudain entré dans le monde des adultes, par un passage brutal et indécent, qu'aucun adulte n'avait le droit de faire à un enfant, de ce fait je quitté aussi le monde de l'innocence et de l'enfance, avec un choc immense, je devenais soudain adulte à presque 14 ans, pour encaisser tout le poid du mal et des souffrances que j'allais encore devoir encaisser, mais surtout pour y survivre et pour apprendre à grandir et devenir un " homme ", qui peut vous dire aujourd'hui, sans égocentrisme, ni fierté mal placé: " je me suis fait tout seul ".

Avis aux parents:

Après avoir lu ci-dessus, vous comprendrez que je ne peut faire autrement que de vous mêttre en garde, attention à ce que font vos enfants, attention surtout avec qui sont vos enfants, ne minimiser aucunes situations, personnes, avant d'être sur que tout va bien, que tout se passe bien, que votre ou vos enfants sont en confiance, car je vous le rappel, il y a un loup dans chaques bergeries, vous ne pouvez pas répondre de qui que ce soit, alors veillez a ce que vos enfants soient bien entourés, c'est votre devoir, votre place de père, de mère, de personnes ayant autorité, etc..., ainsi vous pourrez prévenir le maximum de dérapage et si par hazard il se passait quand même quelque chose, vous ne pourriez vous le repprocher, car vous aurriez fait le maximum et votre enfant vous en sera gréer, on ne laisse pas un enfant seul dans la rue, seul sans surveillance, sans être sur de ces fréquentation, trop souvent aujourd'hui trop d'enfant sont laissé seuls face à eux même, des enfants sont fait pour être des enfants et des adultes, des adultes, sans en faire des trop protéger, mais chaque choses en son temps et en son heure, alors veillez et ne dormez pas quand vous avez des enfanrs, car quand l'impensable arrive, il est trop tard pour les repproches, vos enfants méritent mieux que ça, non ???...

lundi 15 mars 2010

mon histoire et mes conseils suite

Scénes de vie conjugale par ricochet:

J'ai envie de raconter divers moments qui sont à jamais gravés en moi, des choses tellement impensable et pourtant vraies, par ma mère ou mon bourreau; ma mère à fait dépréssions sur dépréssions, étant hospitalisée à chaque fois, assez loin de la maison, dans une maison de repos à Mirecourt dans les Vosges, mais mon beau-père à force de toucher d'un peu trop près de la bouteille, se trouva lui aussi, pendant 2 à 3 années consécutives aussi en maison de repos, plutôt en cure de désintoxication, chacuns d'un côté, une fois ma mère était partie en maison de repos et il était seul à la maison,il c'est trouvé dans un état bien avançé, c'est alors qu'il a eut l'idée de vouloir se suicider, il est grimpé sur un balancier d'une chaise de bébé qu'avait été utilisé pour ma soeur, puis il a mit une corde et ironie du sort, il c'est retrouvé le cul par-terre, imaginé...

Incroyable, mais vrai, il aurrait pu au moin ne pas se rater, enfin la voisine est arrivé à ce moment là et là trouvé éffondré sur le sol du grenier, que faisait-elle là, mister et boule de gomme...En tous les cas, elle a appellé les urgences et il c'est retrouvé avec ma mère dans la même maison de repos, chacuns de son côté, on pourrait en rire comme un film de comédie, si ce n'était pas si con et ridicule, alors qu'un enfant était malheureux et grandissait très mal,mais ce n'ai encore pas de moi que l'on s'occupa, je devais vraiment être invicible, alors c'est comme ça que je me construisit, entre absence et maltraitances, entouré de personnes qui ne tennaient pas à moi, sans m'en rendre vraiment compte j'ai grandi et je me suis fait une coquille, pour survive et avancer autour d'adultes qui finalement n'en étaient pas, en tous les cas pas assez mur et censé pour avoir en charge des enfants...

A un autre moment,à noël ou il y avait le frère à ma mère, sa femme et ses chers enfants, il se réveilla en pleine nuit, criant, ameutant toute la maison, il fallait allumé la télé, car son village natale passait à la téle, pour un match de foot en direct avec une grande ville des Vosges, dont je ne me souviens plus du nom, imaginé la tête de tout le monde et de son état, mais le pire c'est qui l'a fallut un long moment avant qu'il ne se calme et qu'on lui fasse comprendre que ce n'était pas possible...

quelques années plus tard quand j'eu 16 ans, ma mère du être hospitalisée, pour un cancer, il arriva complétement saoul à l'hopital, demanda à voir le médecin en faisant un grand scandale, puis en face du médecin, à côté de la porte entrouverte de la chambre de ma mère qui ne savait encore rien, il cria dans un état lamentable: docteur je sais que ma femme à un cancer, dite moi qu'elle va creuver ???
Je défi qui que se soit de se sentir bien dans ses pompes face à un tel individus, en tout cas ma mère fut au courant de sa maladie, comme moi même d'ailleurs, qui vena voir dans ma chambre dans un état tout aussi lamentable, pour me dire à mon tout : ta mère à un cancer et elle va creuver, charmant n'esce pas ???

A ce moment là, je cru que le ciel me tombait sur la tête et la façon si diplomate dont il me l'annonça, m'assomma et me fit énormément de peine, quand j'y repense avec tout ce que je sais aujourd'hui, cela parait bien loin et dérrisoire...

mercredi 10 mars 2010

Mon histoire et mes conseils suite

Les violences conjugales subits par les enfants:

Je revois et n'ai pas oublié des instants mémorables de scénes de violences orchestré par un beau-père en crise de manque ou en êtat d'ébriété avancé, il était une fois...

Un jour monsieur arriva un midi pour prendre son repas, il faisait plutôt froid dehors, mais là n'ai pas la question, je me souviens seulement qu'il est arrivé avec un air sombre, ce qui annonçait rien de bon, mais comme il était juste là pour le repas on allait peut-être éviter la corrida, et bien non, ma mère lui servit sa soupe, puis replaca la casserole dans laquelle était la soupe, sur la plaque de cuisson, du temps qu'elle y arrive, l'homme avait à peine mit sa cuillère dans son assiètte, qu'il s'en servait déjà comme une soucoupe volante, ma mère eut juste le temps de se déplacer, que l'assiètte arriva dans l'évier, ou elle éclata en mille morceaux, on eut tout suite des mots sur cette affaire en un : ta soupe est froide...

Un autre jour, comme ces jours ou l'air sombre et ou l'on sent que quelque chose va nous arrivé, monsieur était tranquillement à table, la table était d'ailleurs mise, les assièttes, le pain, le vin biensur, enfin une table bien remplie, quand soudain il chercha les noises à ma mère, ce qui finissait par arrivait c'est que ma mère était devenue presque abonné à la bonne réplique, qui le faisait réagir agréssivement, je la soupsoune même avec le temps de n'avoir pas pu vivre autrement et que parfois s'il n'y avait pas de scandale et bien elle était malheureuse et il lu fallait chercher l'affrontement, térrible, mais bon pour l'instant, monsieur se mit à vociférer avec des remarques, des gros mots de volatiles, puis en un clin d'oeil, sans que l'on si attende, la table se retrouva à l'envers, avec tout son contenue parterre, se fut une telle violence que personne ne broncha, moi j'en étais tout chamboulé, imaginé vous la scéne, c'était une table ronde, dans la cuisine, il attrappa le pied principale et sa force de dément fit le reste, encore une fois, ma mère supporta toutes ces scénes horribles, sans jamais rien faire pour protéger ses propres enfants de ces violences gratuites, des années après, elle en ait encore, comme le pire qui m'ait arrivé, à dire, il faut oublier, ne plus y penser, je ne veux pas en parler, ce n'ai pas de ma faute...Comment voulez vous parler à un mur qui n'enttend rien de ce que vous lui dite et qui renie votre souffrance...

Autre lieu, autre moment, nous étions en Italy dans la maison de famille de ma mère, ou j'ai tant aimé passé tant de bons moments, si beaux si intense, malgré d'autre disputes etc...Même que souvent c'était entre ma grand-mère, cette fois maternelle et sa propre fille, ma mère, des faces à faces houleux...
Mais la scéne dont je me rappelle était après le décés de ma grand-mère, l'homme imbibé d'alcool comme à son accoutumé était dans un état avancé, quand il décida d'aller se coucher, mais au passage il prit tous les couteaux qu'il trouva sur son passage et voulu aller dormir avec, je ne me rappel pas ce que ma mère fit à ce moment là, mais la nuit fut très mouvementée et l'angoisse ne me quitta pas...

Quand je pense à la pèriode ou mon père à été tué, je repense à cet instant ou mes
grands-parents paternel on demandé ma garde exclusif, affirmant que ma mère était incapable de m'élever, j'ai toujours pensé que c'était une chose horrible qu'ils avaient fait à ma mère, biensur ma mère leur en a gardé une racune très amère, surtout à ma grand-mère qui comme je l'ai déjà dit, n'était pas une sainte, mais avait une langue bien fourchue, mais elle aussi avait perdu son fils, ma mère refusa de me donner à mes grands parents pendant des années, tout cela pour régler ses comptes, mais quand je réffléchi à tout ça aujourd'hui avec un bon reccul et surtout une autre image de ma mère, je pense que mes grands-parents avaient raison, ma mère a préféré m'emmener avec elle dans un endroit qu'elle ne connaissait pas elle même et chez des gens que l'on ne connaissait pas, en plus elle m'a entrainé dans cette spirale de l'enfer qui m'a détruit, elle a pourtant eut plusieur mise en garde, dont cette demande de garde de mes grands-parents, ainsi qu'après tout ces " incidents " qui montraient clairement la violence et la méchanceté de ce monstre qui ne pouvait s'arrêter là, mais elle a choisi intentionnellement de me garder avec elle, jour après jour, sans jamais revenir en arrière et dire à mes grands-parents, que finalement je serai plus heureux avec eux, dans ces décisions dramatique, elle m'a aussi séparé de toute ma famille, car nous avons fini par nous perdre tous, un jour il fut trop tard pour rattrapper un temps infiniment perdu, le constat est térrible, en plus d'avoir été maltraité, violé pendant des années par un monstre, d'avoir été tout simplement " abandonné par ma mère, j'ai perdu tout ceux qui étaient dans ma vie, comment peut-on faire ça à son propre enfant et le regarder sombrer jour après jour, à croire qu'elle voulait que je meurt de vivre tout cela et que je ne me reléve pas, pourtant il lui aurrait suffit de dire que j'étais en danger avec son mari et qu'il valait mieux pour moi que j'aille vivre avec mes grands-parents, ainsi je n'aurai rien connu de tout ce qui ma anéantit, la fierté et l'intrangigence d'une femme sont meurtriers, mais jamais elle ne l'a admi et ne le fera jamais, pour moi, je n'ai plus de mère, l'aura qui avait brillé des années dans mon coeur, c'est éteint au fur et à mesure que j'ai compris tout le mal qu'elle m'a fait et laissé faire, je pardonne et je pardonnerai, mais jamais je n'oublierai, jamais...

Elle eut aussi une grande mise en garde de la vie, quand elle tomba enceinte après ma demi-soeur, à ce moment là je ne le su pas, je l'ai apris des années après, mais pour moi se fut comme une confirmation, car je savais qu'il c'était passé quelque chose, enfin quand sa mère l'aprit, elle lui dit tout de suite: il est hors de question que tu es un autre enfant dans les conditions que tu vis avec cet homme qui n'aime pas ton fils et dans ton êtat dépréssif, tu vas venir en vacance ici ( en Italy ) et en passant pas la Suisse, tu iras te faire avorter et tu partiras le lendemain pour venir te reposer pendant les vacances ici,c'est ce qui se passa, je me rappel que nous sommes partie plutôt en début d'après midi, alors que d'habitude nous partions sur les 4 heures du matin, puis nous nous sommes arrêté en Suisse à Genéve je crois, alors que d'habitude, nous ne nous arrêtions jamais en Suisse, beaucoup trop cher, puis en plus nous avons pris une chambre d'hotel, ça aussi ça ne se faisait jamais, puis ma mère à disparu jusqu'au lendemain après midi, je me demandai ce qui pouvais bien se passer à ce moment là, car rien était normal, après que nous avons retrouvé ma mère, nous sommes partie enfin, chez ma grand-mère, finalement j'ai su des années après ( une quizaine d'années ) ce qui c'est vraiment passé, de la bouche même de ma mère, ma grand-mère avait tout arrangé et avait tout payée, une chose très étonnante qu'elle ait fait cela, sans jamais faire quoi que ce soit pour me protéger moi même un enfant qui avait une dizaine d'année et qui était en danger et dont ils étaient apparement tous vraiment conscient, une chose est sur, quand la mama Italienne disait quelque chose, tout le monde obéissait et point final et tout monstre qu'il était, devant ma grand-mère, il l'a fermait, même chez lui, alors pourquoi n'ont ils rien fait, pourquoi, pour moi aujourd'hui c'est impardonnable, quand on sait pas, qu'on enttend pas, c'est une chose, mais quand on a des appels et des appels, que l'on ne fait rien, on devient aussi coupable que le propre criminel en titre, pour moi, c'est clair, il n'y a pas à en douter...

Alors comprenait la mise en place des choses, des futurs actes irréverssibles, surtout ne laissait jamais des signes avant courreur, vous passer devant, sans jamais y faire attention, car sachez que cela peut être destructeur et même fatal pour votre enfant, d'autre n'ont pu supporter et se sont malheureusement suicidé, j'ai éssayé biensur par 2 fois, mais Dieu ma sauvé et j'ai eut la force de me relever et de continuer à exister, mais rien a été facile, alors soyez svp vigilant avec vos enfants, votre entourage et surtout écouter, regarder, observer, analyser, agisser...

Ps: Pour toutes vos questions, envies de contact, je suis à votre disposition au: georgelucienthierry@hotmail.fr, merci

La possibilité d'un nouveau départ

" JE SUIS VIVANT "



J'ai enfin porté plainte
Après des années de souffrances
Pour ce que d'autres prennaient pour des feintes
Alors que ma vie n'était qu'érrance
Pour la première fois aujourd'hui
J'ai envie de crier, je suis vivant
Dieu m'a donné la liberté
Même si la préscription et de mise
Sur tout ceux qui m'ont baffoués
Ils ne font plus partis de mes hantises
J'ai enfin trouvé un havre de douceur
Qui m'a permis de poser mes fardeaux
De disséquer les épreuves et les malheurs
Qui m'ont fait si souvent courber le dos
Je remercie Dieu de m'avoir donné une femme
Qui a été la mère que je n'ai pas eut
Me donnant les limites et la force de garder la flamme
Ainsi qu'un petit garçon en cadeau du temps perdu
Je suis encore reconnaissant de cet entourage
Qui m'a donné sa confiance et tout son amour
Sans jamais me juger et me faire barrage
Le temps fut long et triste, mais la nuit c'est fait jour
Je sais que le chemin est encore long
Que rien ai encore gagné, mais je suis vivant
J'ai enfin envie de vivre pour de bon
Pour venir en aide à ceux qui ont subit les méchants
Aujourd'hui et le jour de ma reconstruction
Alors que je n'avais que mit des rustines sur mes bléssures
Mais chaque jour de prière, m'a donné l'ambition
De pouvoir enfin aller vers le ciel azur
J'ai subit ce monde si dur et sans compassion
Trop souvent abandonné dans cet univers trop grand
Mais j'ai tenu, je me suis battu avec conviction
Et aujourd'hui je peut crier " je suis vivant " .


Ecrit par Hugo Gall ( pseudonyme de TH..... GA..... ) à Lagny Sur Marne le 10-03-2010

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mardi 9 mars 2010

Mon histoire et mes conseils suite

Les dérives de l'alcool dans la maltraitance :

L'alcool est une drogue dure comme d'autres bien connues, pris à hautes doses, cela devient dangereux et incontrolable.

L'alcool désihibe la personne qui en prend, il devient soudain très libre, tout lui semble à porté de main, il se sent fort, invincible, alors tout ce qu'il n'ose faire ou dire en temps normal, il va hardiment vous l'offrir sur un plateau après quelques verres qui vont le rendre soudain plus ouvert à tout, seulement si la personne en temps normal à des travers, imaginé ce que cela peux donner, rien ne peux l'arrêter, ça devient une arme de guérre et je peux vous dire que je l'ai vu, j'en ai eu très très peur, j'ai subit les éffets de l'alcool, surtout les éffets secondaires, la destruction de tout, de famille entiére, alors ne laissait pas par pitié l'alcool entre des mains qui ne savent pas l'utiliser avec modération et ne laisser surtout pas assister vos enfants à la déchéance et au changement en bête incontrolable d'un de vos proches, car pour l'enfant cela peut devenir un traumatisme dont vous n'avez pas idée...

Les complications et séquelles de la maltraitance sur un enfant:

Moi j'ai subit de plein fouet la maltraitance, depuis la mort de mon père, entre les adultes qui devaient me protéger et en l'on pas fait et le nouveau mari de ma mère qu'elle ma imposer avec la descente en enfer que cela a impliqué, alors il c'est produit en moi plusieur complications et ce qu'aujourd'hui je qualifierai de séquelles, comme: la difficulté de comprendre des régles de conjugaisons, grammaires, calculs, de retenir des leçons, de me concentrer en classe ou ailleurs, je m'ennuyai aussi très vite, j'avais besoin de bouger, parler et malheureusement toutes ces " contres-indications " ne m'ont pas quitté en grandissant, dans mes classes supérieures et mes futurs emplois, sans compter que mon corps grandissait, certe, mais à l'intérieur j'étais l'enfant qui était resté à la mort de son père, de ce 1er choc indigeste pour moi, alors inconsciement je portai cet enfant en moi, avec sa fragilité, sa franchise implacable, ses souffrances immenses et indéllébiles, je cherchai aussi dans les personnes que je croisai, un frère, un père, un ami et je leur donnait aussitôt toute confiance, tout pouvoir, convaincus qu'ils sauraient m'aimer, me comprendre, m'aider, me soutenir, mais malheureusement les choses ne se sont pas passé comme ça, j'ai eut déssillusions, sur déssillusions, ruptures sur ruptures, sans comprendre, sans voir, comparant tout ça à de la trahison, l'enfant qui était en moi ne comprenait pas pourquoi tout ces gens me faisait si mal, alors je suis devenu un enfant en révolte, déçu par ce monde, mais au fond de moi malgrè tout il y avait toujours cette lumière qui me disait qu'il fallait encore y croire, faire confiance, s'accrocher, un jour il finirait par avoir autour de moi, des personnes qui m'aimeraient, me croiraient,me donneraient leurs confiances, même si le chemin serait dur, long, pleins d'ornières et d'épreuves.

J'ai traversé des souffrances immense dans le parcours scolaire, fait d'incompréhensions, de jugements hatifs, de délaisements, d'ignorances, je dirai que les institutions de l'état mon fait en plus de tout ce que j'ai subit, beaucoup de mal, je me rappel un directeur d'école, qui était aussi mon instituteur, monsieur Collignon, j'étais en ce1, ou Ce2, je ne sais plus très bien, ce que je sais, c'est que cet homme, me donnait des coups de régles ( Catherine, il l'appellait...)sur les fésses, les mains, parce que je ne savais pas mes leçons, etc...Mais cet homme aussi directeur qu'il était, ne c'est jamais posé les vraies questions, les vraies incertitudes, non, comme tout ces collégues, il m'a vite rangé dans les " incapables ", seulement cette étiquette je l'ai porté toute ma vie, dans le familles, les études, les rencontres, les employeurs, ou pour moi rien était adapté à ma situation, tout comme à l'école, allait beaucoup trop vite pour moi, les gens autour de moi ne me comprenaient pas, se faisaient des fausses idées sur moi et je finissait par être exclus, porter une image qui n'était pas la mienne, j'ai souffert plus d'une fois de tout cela, mais aucune institution, aucun médecin, etc, ne m'a peré vraiment à jour comme on dit, je me suis battu, à en crever chaque jour, pour éssayer d'être " normal " comme les autres, seulement je devais marcher dix fois plus vite, courir vingt fois plus vite, pour juste éssayer de les rattrapper, personne n'a compris toute ces bléssures, ces souffrances, on disait facilement que je n'apprenait pas mes leçons, que je n'avais pas enttendu les ordres, les consignes, etc...Mais mon esprit ne me renvoyait jamais les mêmes sons, les mêmes choses et on pouvait me rabâcher 100 fois les mêmes choses, si mon esprit ne voulait pas l'enregistrer, il ne le faisait pas...

On peut me donner 3 ou 4 consignes à la fois, et bien, soit je vais en faire une seule, soit je ne vais m'en rappeller aucunes, soit je vais carrément faire autre chose de tout ce qu'on m'a dit et ça été tout le temps comme ça, j'étai totalement prisonnier de mon esprit, mon corps,alors imaginé vous ce que mon cher beau-père à pu dire, faire, entre baffes, féssées, etc...

Je me rappel des soirées, ou après manger, il m'obligeait à repprendre mes devoirs, à coups de claques, etc...Jusqu'a des minuit, 1heure du matin, alors que j'avais école le lendemain, mais que croyait vous qu'il en resta le lendemain, rien, et encore une fois, que faisait ma propre mère, comment pouvait-elle accepter toutes ces choses, ces humilliations,non ce n'était pas ma mère, cette femme là, était une étrangére à tout ce que je pouvais vivre et recevoir, je ne vois pas d'autre solution.

Alors je vous en pris, vous qui êtes mère, aimez vos enfants, protégé les contres ceux qui veulent leurs faire du mal, quelqu'il soit, leur père, votre concubin, etc...Vous êtes la seule personne qui peut sauver la vie de votre enfant, si Dieu vous à permis de concevoir un enfant pendant neuf mois, ce n'ai pas un hazard, il vous a été confié, pour en prendre soin, jusqu'a son propre envol, vous n'avez pas le droit de regardez celui ou ceux qui lui font du mal, sans réagir, sans lui venir en aide et vous impliquer...

Je revois aussi un jour on je sortai d'une maladie qui m'avait cloué au lit pendant une quizaine de jour et le samedi avant de repprendre l'école, ma mère décida qu'on aille faire les courses à Nancy, à un grand centre commercial, à une soixantaine de kilométre de chez nous, mais en plus on y passerait la journée, seulement elle m'obligea avec mon beau-père, d'aller voir mon instituteur ( le directeur ) et de lui dire que je ne venais pas à l'école ce matin là car je partai faire les magazins " en famille ", j'étais ouvert de honte et de peur, mais les deux protagonistes n'eurent pas de pitié pour moi et je du me réssoudre à y aller, la peur au ventre, je ne sais pas ce que pensa monsieur le directeur de cette " farce ", mais intélligent comme il devait l'être il aurrait du rectifier le tire me concernant, seulement je n'ai jamais rien vu de changer après tout cela,maintenant je me rend encore plus compte, combien ma mère à eut une impact direct sur tout ce qui m'ai arrivé, pourtant j'ai mit des années à le comprendre, à le croire...

Une année ils m'ont même fait croire que j'allais en colonie de vacance à la mer, car l'année précédante j'étais allé au Tréport, ou j'avais beaucoup aimé, c'était super, je m'étais bien amusé et javais eut des copains et fait plein de chose, alors là j'étais très content d'y aller, alors j'y suis aller en confiance, seulement au fur et à mesure que le voyage se faisait je me rendait bien compte que la mer était loin, même très très loin et qu'en plus on ne partait pas si loin de la chez moi, finalement le car qui me conduisait à la colonie de vacance s'arrêta et se fut un vrai calvaire pendant à peu près 1 mois, ils m'avaient mit en colonie de vacance de " redressement ", avec un réglement très strict, des jets deux froides, des siestes obligatoires, des moniteurs durs, etc...J'en suis revenu déçu, interdit, je ne comprenais pas, je leur ai pourtant bien dit que j'avais pas apprécié et que je ne voulais plus jamais aller en colonie de vacance, ce qui d'ailleurs ne se fit plus, avais-je gagné, ça je ne l'ai jamais su...

J'ai aussi fini par partir en vacance, chez mes grands-parents paternel, avec qui ma mère c'était faché un long moment, mais je pus retourner chez eux, avec mon grand-père que j'aimai tant, il était si doux et gentil avec moi, je n'oublierai jamais son regard avec ses yeux bleus azur qui vous transperçaient le coeur et l'âme par sa bonté, ce qui n'était pas le cas pour ma grand-mère, peste et médisante devant l'éternel, enfin, tout ça pour dire que je me rappel des oncles et tantes, cousins et cousines, qui venaient profiter des pauvres vieux, boire la cave de mon grand-père, profiter de leurs argents, etc...Je me rappel surtout d'une certaine Joëlle et de son cher mari J-P, qui m'ont traiter de salle môme mal élévé, que ma mère gatait beaucoup trop et qui faisait de moi un " fils à maman ", cela résonne encore en moi, comment ont ils put dire de t-elles choses, alors que je vivais un enfer et que j'étais en " récréation " chez mes propres grands-parents, voilà tout ces gens que j'ai tant croisé, qui ne savent que juger sans savoir et faire mal, des gens de votre propre famille, ce qui fait qu'aujourd'hui je n'ai plus personne, entre ceux qui m'ont jugé imposteur et d'autre qui ne vallait pas la peine, le total est Zéro, ont choisi ses amis, mais pas sa famille, mais aujourd'hui je peut rajouter, on ait pas obliger de s'enttendre avec sa famille, surtout de toujours baiser la tête et de tout accepter, pour ne pas vexer, blésser, untel ou untel, seulement quand ceux-ci ont envie de vous moucher, ou de vous dire vos quatre vérités, ils ne se gêneront pas du tout, alors vivez simplement votre vie et que se soit de votre famille ou des étranger, la vie est trop courte et bien dur, ne vous embarrassez pas et ne vous faite pas de mal, avec des gens quelqu'ils soient qui vous font souffrir et vivre d'affreux moments, laisser les vivres dans leurs mondes et vous vivez le votre, votre vie n'en sera que meilleure....

Je revois aussi toutes les différences que j'ai subit, quand à Noël et au jour de l'an, on allait chez la chere famille de mon beau-père, avec ma demi-soeur, la belle-mère, donnait devant moi, un paquet de bonbon à ma soeur une belle pièce et des clémentine, ensuite elle se tournait vers moi et elle me tendait un paquet de bonbon ouvert, ou elle me demandait d'en choisir quelques uns et elle me donnait une ou 2 clémentine et c'était tout, je me rappel de tout ça comme si c'était hier, j'en ressent un grand sentiment de mal à l'aise et d'injustice, mais que faire devant des personnes butés, méchantes, malvaillantes, la connerie et la bétise humaine sont l'intélligence des imbécilles....

lundi 8 mars 2010

Mon histoire et mes conseils suite

Inceste, maltraitance et les facteurs agravant:

J'en viens ici à raconter les violences psychiques, physiques, que j'ai subit, avec biensur un facteur térriblement dangereux et au combien agravant qui est l'alcool, ne jamais sous estimer ce facteur impitoyablement destructeur, il anéantit tout autour de lui, quand vous lui rajouter un individu jaloux, violent, insatisfait sexuellement, vous obtenez la combinaison explosif, pour faire un parfait abuseur d'enfant, voir bien pire...

A mon époque il faut dire que les pères, beaux-pères, étaient tout puissant, ils avaient tous les droits sur leurs enfants, quand à l'alcool, il était considéré comme un nectar pour les " hommes " les " vrais ", si tu ne buvais pas tu n'étais pas un homme et les cuites étaient légion, c'était cette belle France de l'époque qui à fait sous couverts d'une grande tradition, une immense destruction de familles, enfants, etc..., mais tout le monde fermait les yeux, c'était tellement " viril ", qu'elle idiotie et imbécillité mortelle, il ni a qu'a voir les dégâts de la routes, ajouter à cela les morts et destructions " collatérales ", vous obtiendrez une liste incroyablement immense des dégâts occasionné par l'alcool...

Je revois donc des scénes délirantes, horribles, pour un enfant, des cris et des hurlements, ma mère devenant hystérique, le suppliant d'arrêter de l'insulter, de la chercher, puis le menaçant de se jeter de la fenêtre du 4 éme étage, je revois encore ma mère, ouvrant la fenêtre, montant dessus et prête à se jeter dans le vide, j'étais totalement livide, interdit, parralysé par la peur et l'incroyable souffrance qui emplissait mon être tout entier, je ne sais plus comment les choses se sont calmé, mais je me rappel de cette scéne, elle est gravé en moi a jamais, je n'avais que 7 ou 8 ans, ma demi-soeur venait de naître et nous avions quitté l'hotel ou nous habitions en arrivant dans cette région et cette ville.

Une autre fois, j'avais inconsciement, surement, tellement marre de cette asmosphére étouffante, que je m'étais fait invité par des camarades ( 2 frères ) chez eux, je ne voyais pas le temps passer, mais en plus au fond de moi, je ressens comme une pensée qui me disait qu'il fallait rester là, ne pas partir, seulement au bout d'un moment, c'est mon oncle, le frère à ma mère, en déplacement dans la région qui est venue me chercher, me faisant une grosse leçon de morale, me parlant sur un ton très haut, je ne comprenais pas, mais lui que savait il vraiment, a t-il cherche à savoir ce qui se passait, il a vu sa soeur dans des états lamentables de dépréssion, d'infinie tristesse, mais jamais il n'a bronché, surtout pour moi, pourtant ils disaient tous que mon père était quelqu'un de tellement bien, etc...; malgrè tout cela ils n'ont rien fait, rien, ils m'ont tout simplement abandonné, préférant me classer dans les enfants difficiles...

Je revois encore d'autres scénes, mais cette fois quand nous avions amménagé dans la maison qu'ils avaient fait construir, avec l'argent que ma mère avait reçu à la mort de mon père, nous habitions désormais à Neufchâtau, à 30 kilomettres de Vittel, cette maison recevra toutes les plus grandes bléssures et souffrances de ma vie, qui resteront à jamais impreigné en ces murs, si elle pouvait parler, je suis certain qu'elle ferait fuir ces nouveaux propriétaire.

Mon beau-père allait souvent le wknd dans son village natale ou était toute sa petite famille bien sympatique ( souvenait vous ...), il coupait du bois, mangeait chez sa cher maman, qui se faisait un malin plaisir machiavélique, à lui dire en lui servant à boire: mon Pierrôt, tient bois un coup, ne te laisse pas faire par ta rital et son bâtard et montre leur que tu es l'homme de la maison et que c'est toi qui commande et la sale sorciére refaisait cette petite scénes plusieurs fois dans le temps que son " cher fils " était avec elle, je peux vous dire que c'était aussi éfficasse que si on jetait un sort, car quand l'homme revenait de sa virée de chez maman, il n'était plus un homme, mais une bête inhumaine, on enttendait les portes de la voiture claquer au sous-sol, avant même qu'il soit devant nous on savait que ça allait être dur et que Dieu seul savait ce qui allait encore arriver, je me souviens de cette fois ou il est arrivé, le regard méchant, dur, commençant à dire des horreurs à ma mère, puis les choses on monté, encore de plus en plus, je ne me souviens plus exactement des termes, mais c'était encore insultes sur insultes, repproches sur repproches, mais cette fois c'était encore plus grave que d'habitudes, car nous étions térrorisés, compétement figé, il nous faisait vraiment peur, on aurrait dit une bête qui était prête à tuer, alors pour la seule et premiére fois, ma mère c'est enfermé avec moi et ma soeur, dans la salle à manger et le salon, qu'elle a fermée à clef, espérant qu'il n'en vienne pas à éventrer la porte, je me souviens de cette peur qui me tétanisait, nous étions les uns contre les autres et on l'enttendait tout casser dans la maison, vociférer à tout va, c'était comme une tempête qui commence, qui vous fait énormément peur et don voux vous demandez quand va t-elle finir et surtout que va t-il advenir de nous, comment tout va être après ???

Quand ma mère sentit qu'il était surement endormi dans un coin, elle nous emmena coucher dans nos lits et la vie reprit, je n'arrive pas à comprendre, comment ma propre mère à pu me faire vivre tout ces violences, sans jamais être partis, qu'avait-elle à gagner dans tout ça, mais surtout quand pensait-elle à moi, à t-elle seulement une seule fois pu se demander, ce que j'allais devenir avec toutes ces épreuves que je vivais et que l'on me faisait vivre???, jamais je crois...

Une autre fois, ils se sont mit à se disputer très violement, le ton montait encore plus fort qu'a d'autre instant et ma mère cria arrête j'en peux plus, j'en peux plus, soudain la vitre de la porte du sous-sol vola en éclats et du sang jaillit de partout, c'était l'horreur, ma mère était en sang, sa main, son poignet, son bras était passé à travers cette vitre et l'avait coupé dans tous les sens, j'étais sans dessus-dessous, j'avais si mal pour ma mère, comment pouvait-il lui faire tant de mal, nous faire tant de mal, qui était cet homme qu'on m'avait imposé et que ma mère avait choisi, je voulai mon père, je voulai l'appeller, le suplier qu'il vienne nous délivrer de toutes ces horreurs, ces violences gratuites, je n'en pouvais plus, j'avais envie d'enttendre et de voir autre chose, envie de partir, mourir, rejoindre mon père...

Une autre fois, une bagare entre les deux protagonistes habituel éclata, mais cette fois ma mère ouvrit la porte et disparut de notre vue, le temps passa, mais elle ne revenait pas, alors l'angoisse me prit, qu'avait-elle fait, ou était-elle, lui fini par se demander ce qui se passait et partis à sa recherche, nous laissant moi et ma soeur à notre propre sort, l'attente était insuppotable, j'étais jeune mais je savais ma mère capable de beaucoup de chose contre elle, j'en avait déjà eu de bels exemples et je craignai le pire, au fur à mesure que le temps passait et qu'elle ne rentrait toujours pas...

Elle rentra avec lui beaucoup plus tard, elle avait été se perdre dans un bois, ou on l'avait retrouvé déambulant,ce soir là tout le monde regagna son lit et un calme olympien régna sur la maison, pour une fois ...

Une autre fois, il m'avait dans le nez, comme bien souvent d'ailleurs, alors il c'était fixé sur ma coupe de cheveux qu'il ne lui convenait pas, mais pas du tout, alors après m'avoir dit plusieur fois que ça lui plaisait pas, il fini par m'attrapper en prennant soin de prendre un ciseau avec lui et il me coupa les cheveux en me les massacrant biensur, faisant des trous de partout et des inégalités, une horreure, ensuite il m'attrapa violement et me ferma à clef dans le grenier, je me rappel de la honte que j'ai ressenti après et pendant un long moment, dans le grenier je me sentais dévasté et quand je repense à toutes ces scéances et ces épreuves qui ne finissaient pas, je me pose encore cette question, pourquoi ma mère, ne l'a t-elle pas arrêter dans ces violences contre moi, à part arrête, arrête, dont vous pensez bien il n'en avait rien à foutre, mais quand à lui dire ce que chaque mère devrait dire: c'est la dernière fois que tu le touche,si tu oses recommencer, je prend les enfants et je m'en vais et je porte plainte contre toi, mais non ce que j'attendais n'ai jamais venu et le pire et venu, car malheureusement, quand on ne fait rien contre les violences familliales, conjugales, elles deviennent crescendo et dangereusement incontrolâble, mais le pire c'est un être violent, jaloux, méchant, bien alcoolisé et poussé à faire le mal par sa famille, avec la seule idée, détruire ce gosse, qui est l'image incéssante de son père qui a été l'homme qui a couché avec sa femme...

vendredi 5 mars 2010

Mon histoire et mes conseils suite

Un entourage idéal pour commêttre l'irréparable sur un enfant:

Je tiens à dépeindre l'environnement dans lequel j'ai véccus pendant toutes ces années ou j'ai été avec ma mère et mon beau-père et où tous les sévices que j'ai subit se sont passés, pour que vous puissiez être encore plus vigilant et protecteur avec vos enfants, il n'y a pas de térrain spécial, car aucune classe sociale n'ai épargné, mais il y a des circonstances et des comportements qui y sont propices et il faut y faire très attention, pour l'équilibre et la sérénité de vos et nos enfants.

En arrivant dans cette nouvelle région et " nouvelle famille ", les feux étaient au rouge, rien allait et le plus sensé des humains, aurrait rebroussé chemin, mais encore une fois ma mère à persisté en me forçant de le faire avec elle, c'est ainsi que nous avons découvert un monde hostile, raciste, immonde, petit, hypocryte, méchant, mensongé, les années qui allaient suivres, allaient nous laisser plus d'une cicatrices et des bléssures indéllébiles, que je n'oublierai jamais, c'est pourquoi aujourd'hui quand j'enttend parler de '' racisme '' , que les '' français n'aiment pas toujours les mêmes " immigrés '' etc, cela réssonne en moi très violament, car moi et ma mère étions d'origine Italienne, ma mère 100% et moi 75%, nous avions la même religion, pratiquement les mêmes façons de vivre et surtout nous étions discrets et toute la famille à toujours tout fait pour s'intégrer et remercier la France pour l'avoir accueilli, mais là rien ne semblait plaire à cette '' belle famille '' et nous avons tout enttendu, de sale rital qui vienne bouffer le pain des Français, à moi qui était un sale batard qui fallait mêttre dans un orphelinat, car j'allais faire capoter la belle harmonie du mariage du fils " prodigue ", quand à ma mère elle avait droit au charmant patronyme d'espéce de divorcé, veuve, charmant je vous dit, un tableau idyllique, mais ce n'était que le début, la grosse vague viendrait plus tard et par plusieur succésives...

J'étais pourtant un enfant de 6 ans qui ne demandait qu'a être aimé, chéri, apprécié, mais je comprennai très vite que ces gens là, ne m'aimerait pas, ne nous aimerait pas était le meilleur mot à employer, car cela concerner ma mère et moi, mais même si ma mère les a bien subit et comme on dit si bien " pratiqué ", elle m'a donné cette bonne '' chance '' de le faire plus souvent et longtemps qu'elle, car dés qu'elle a accouchée de ma demi-soeur, l'unique héritiére de fis " prodigue ", elle a fait des dépréssions à répétition, qui m'ont fait être placé dans cette famille, j'ai eu droit à l'école du village, à être placé chez une soeur de monsieur, qui je dois dire ne m'aimait pas des masses, comme ça se ressentait bien d'ailleurs, mais je n'avais pas le choix et je suivais les épisodes dépréssifs de ma mère de loin, en les enttendant les commenter: elle est dans le coma et je sais pas si elle va en sortir, etc..., du haut de mes 7 et 8 ans, cela était intolérable, je n'avais que ma mère et j'étais entouré de vautour, qui se répéssait déjà de sa future dépouille, j'étais térrorisé, je regardais tout ces adultes si denués d'amour, de compassion, pourtant ils étaient tous fourrés à l'église dès que les cloches domnicales tintaient à tout va, charité chrétienne commence par soi-même, dit-on ???, oh que oui, je regardai un monde cruel et sans sentiment déambuller autour de moi et déjà, je me sentais défaillir, seul, impuissant, pourtant j'ai commencé à me faire une carapace en moi, pour me protéger sans doute de ce monde de brute et je commençai à me " faire tout seul ", c'est à dire: grandir seul, devenir plus grand, étape après étape; mais j'ai oublié l'enfant et sa souffrance, ses bléssures, ses meurtrissures et je n'ai pas compris que mon corps au fur et à mesure des années grandissait et devenait adulte, alors qu'a l'intérieur l'enfant bléssé n'avait pas grandi d'une seconde, il c'était arrêté ou on lui avait fait tant de mal et surtout à la perte de cet être cher, qu'on lui avait prit, ce qui entraina tout au long de ma vie, de grosse et grave lacune et faut jugement de beaucoup de monde, ainsi que des institutions de l'état ( assistantes sociales,école, lycée, armé, employeurs, etc...)qui ont vu plus souvent en moi, un " faignant ", " incapable ", etc..., plutôt que de se pencher réellement sur les vraies raisons de mes " absences " et mauvaises attitudes, tout ces " humains " à un poste ou un autre, ont détruit l'enfant que j'étais et l'adulte en devenir que j'aurrai du être.

( Ici je vous demande de faire très attention à vos enfants dans toutes ces institutions de l'état, qui même s'ils ont de gros problémes avec les violences à l'école, etc...Ils sont loin de faire attention aux enfants qui souffrent en silence ou sont mal à l'aise pour une raison ou une autre, ils privilégient les meilleurs et tant pis si les autres ne suivent pas, ne comprennent pas, ces gens sont tout simplement inapte à la douleur d'un enfant, sauf à leurs propres mal être d'enseignants bien sur, c'est si '' humain "...Pourtant c'est eux qui ont en charge la sécurité, le dévellopement dans la société, qui leurs apprénent à devenir des citoyens, seulement il y a tant de ratés et d'enfants refoulés, incompris, laissé pour compte par des instituteurs, profésseurs,préssé de rentrer chez eux et surtout de ne pas se poser les vraies questions, problémes, pret à rayer un éléve de leurs vues, simplement parce qu'il est différent ou ne pense pas et ne réagit pas comme eux, tout le monde n'ai pas socialiste, syndicaliste et fonctionnaire, malheureusement, l'esprit reste à ce niveau, avec tous les ravages que cela implique pour ceux qui passent dans les mailles des filets de ce genre de personnage, alors soyez vigilant, un enseignant n'a pas la science infuse et n'ai pas tout comme le titanic insubmerssible, restait à l'écoute de vos enfants, dans leurs études, leurs écoles, lycées, soyez plus présents, écouté, regardé, pensé, vérifié, analysé, vous serez encore plus proche de vos enfants et vous pourrez réagir au moindre " déraillement ", n'oubliez pas encore une fois, tout ce que vous faite, c'est pour eux, pour qu'ils soient des adultes équilibrés, épanouis, prêt à affronter la vie, ils vous en seront éternellement reconnaissant croyez moi, des enfants aimés, enttendus, n'oublierons jamais leurs chances d'avoir eut des parents qui les ont aimés...)

mercredi 3 mars 2010

Mon histoire et mes conseils suite

Ma petite enfance sans mon père:

Il reste des traces en mon corps de cette difficile et dure période, un mal être d'incertitude, de grande instabilité, une mère qui joue les me voilà et hop je disparait, je reviens et je repart, tout ce petit jeu a duré pendant des années avec moi,c'était les dépréssions, les maladies, les accidents domestiques, mais moi pendant ce temps, j'étais chez les uns ou chez les autres, en tous les cas je n'étais pas chez moi et pas avec ma mère, allez savoir pourquoi, quand ma demi-soeur est née, elle a eu droit à toutes les attentions particulières et surtout à une différente prise de considération quand ma mère était absente, du style chez nos oncles et tantes, jusqu'a aller en Italy chez ma grand-mère maternelle et pendant des mois, toutes les attentions pour elle je vous dit, moi je n'ai jamais eu ça, c'est comme si je criai et qu'elle ne m'enttendait pas, j'étais devant ces yeux et elle ne me voyait pas, alors je comprend mieux que le pire qui est arrivé après, ai pu arrivé, j'étais transparent pour elle, ai-je existé vraiment un jour pour elle...

A cette époque on a commencé à dire que j'étais dur, impossible, ma tante ( la femme du dernier frère de ma mère ) avait peur quand j'arrivais chez elle pour jouer avec mon cousin qui était juste un peu plus jeune que moi, j'avais 3 à 4 ans, le pire c'est que cette étiquette ils me l'on collé toute mon enfance, adolescence, sans chercher à comprendre, savoir, même si c'était vrai, j'avais perdu mon père, ma mère partait en life, j'étais vivant, mais ils ne semblait pas en être conscient, car je les agaçait tous plutôt qu'autre chose et pourtant j'étais un enfant qui souffrait, à qui on avait presque tout pris et qui était seul, personne ne m'a tendu la main à ce moment là et pour clore le tout, ma mère rencontre un homme qui venait au café ou mon oncle ( l'ainé des fréres de ma mère, il avait reprit avec sa femme, le café,hotel, de ma grand-mère,en se fâchant au passage avec toute la famille, sauf au début avec ma mère..)lui avait présenté, comme quelqu'un de bien ( hihihihi ), qui venait de sa Haute-Marne natale ( 52 ), un département qui à cette époque était encore peu dévelloppé et on il régnait une mentalité de petite gens con, jaloux, méchants, bêtes, pourtant c'est ce que ma chère mère choisie, elle se remaria avec cet homme, alors qu'elle aurrait pu avoir de beaucoup plus beaux et meilleurs prétendant, tout ça pour fuir toute cette famille et vie qu'elle ne voulait plus, seulement elle m'emmenait moi aussi dans ses bagages, pour une région que l'on ne connaissait pas, des gens que l'on ne connaissait pas non plus et tout cela on allait le payer, surtout moi l'enfant indéssirable, très cher, très très cher, tout ça pour avoir droit à son indépendance, ma mère avait les neurones qui devait être en ébullition à cette période et en plus elle devait être aveugle, malgré tout ça, on se retrouva dans un hotel dans le centre de Vittel, dans les Vosges, ou nous allions habiter pendant quelques années et ou les prémices de sévices, maltraitances, commencérent à montrer leurs visages, mais surtout ça commença, par des souffrances psychologiques intenses, presque inssuportable, pour un enfant de mon âge, qui avait maintenant 5 à 6 ans.

Je me souviens du début de leur mariage, ou on était dans le village natale de mon beau-père et ou c'était la fête au village, avec biensur le bal incontournable, mais ou ma mère accepta de danser avec des copains à son mari, en tout bien tout honneur, cependant le monsieur ne l'enttendait pas de cette oreille, je le revoit arriver sur ma mère la bousculer et devant tout le monde l'insulter de tous les noms, salope, putain etc... un grand chapelet de bons mots bien choisis, je crois que c'est à cet instant que j'ai commençer à avoir très peur de cet homme et que notre vie à ma mère et moi à basculée, pour l'enfer, il était pourtant encore temps de partir au plus vite, avoir conscience qu'elle c'était trompée, mais non ma mère persista et nous restames dans cet étrange région et famille qui ne nous aimait pas, mais alors pas du tout et ils allaient bien nous le prouver pendant des années, comme dirait un réalisateur de cinéma, qui recevait son prix de la meilleure réalisation à Cannes et qui se fit siffler aisement, " vous ne m'aimait pas, eh bien moi je ne vous aime pas non plus, aujourd'hui je peux le dire vraiment, je n'aime pas cette famille qui a tout fait pour faire encore plus souffrir l'enfant que j'étais et qui était dans la térreur, une térreur qui ne c'est pas couché sur mes nuits et mes jours tout le temps que je resta avec ma mère, voir encore plus longtemps, car certain jour à 46 ans, il m'arrive encore de ressentir, de vivre cette térreur et ces angoisses, alors comment aurrais-je pu et pourrais-je être un homme accomplis, équilibré, épanoui, jamais, ils m'ont tout pris, les uns après les autres, ils ont pompés mon âme et mon coeur, jusqu'a faire de moi, une bête appeurée, désorientée, térrorisé...